La rencontre entre les deux hommes, Pedro Sánchez et Alberto Nuñez Feijóo, servira au moins à une chose : se mettre d’accord sur la modification de l’article 49 de la Constitution. Désormais, on ne dira plus « personnes diminuées », mais « personnes avec un handicap ».
Pour le reste, les deux hommes se regardent en chiens de faïence depuis des semaines et à coup sûr ne parviendront à aucun consensus.
Le leader conservateur est fou de rage que le chef du gouvernement socialiste se soit décidé à faire voter une loi d’amnistie en faveur de dizaines de séparatistes catalans condamnés ou en passe de l’être. En colère aussi, car la mairie de Pampelune est récemment passée à gauche grâce à une alliance entre socialistes et indépendantistes basques.
À l’inverse, Pedro Sánchez s’insurge contre le fait que les conservateurs refusent de renouvellement le Conseil général du pouvoir judiciaire, une sorte de gouvernement des juges, ce qui permet à la droite de garder la main sur le Tribunal suprême ou le Tribunal constitutionnel.
Nul doute que les reproches vont pleuvoir et que cette rencontre tant attendue ne permettra aucun rapprochement véritable.
Pour le reste, les deux hommes se regardent en chiens de faïence depuis des semaines et à coup sûr ne parviendront à aucun consensus.
Le leader conservateur est fou de rage que le chef du gouvernement socialiste se soit décidé à faire voter une loi d’amnistie en faveur de dizaines de séparatistes catalans condamnés ou en passe de l’être. En colère aussi, car la mairie de Pampelune est récemment passée à gauche grâce à une alliance entre socialistes et indépendantistes basques.
À l’inverse, Pedro Sánchez s’insurge contre le fait que les conservateurs refusent de renouvellement le Conseil général du pouvoir judiciaire, une sorte de gouvernement des juges, ce qui permet à la droite de garder la main sur le Tribunal suprême ou le Tribunal constitutionnel.
Nul doute que les reproches vont pleuvoir et que cette rencontre tant attendue ne permettra aucun rapprochement véritable.