Pour la porte-parole du gouvernement de Kigali, Yolande Makolo, le rapport des experts de l’ONU confirme le soutien de Kinshasa aux FDLR ainsi que la dépendance de l’armée congolaise à ce groupe composé à l’origine de génocidaires hutus rwandais comme force de combat de première ligne.
Dans son message, la porte-parole dément également ce qu’elle qualifie de fausses accusations de contrebande de minerai, et ajoute que le rapport « déforme délibérément les préoccupations sécuritaires de longue date du Rwanda ». Les experts onusiens dénoncent la présence militaire de Kigali en RDC et son contrôle sur les opérations du M23 dans un objectif de conquête de territoire, constituant selon eux des actes susceptibles de sanctions. La « menace persistante des FDLR » soutient Yolande Makolo, justifie les mesures défensives de Kigali dans ses zones frontalières.
Le Rwanda est pleinement engagé dans la mise en œuvre de l’accord de paix signé à Washington, poursuit-elle, y compris dans la neutralisation des FDLR, qui permettra, affirme la porte-parole, le retrait des mesures défensives, le retour des réfugiés et la stabilité régionale.
Dans son message, la porte-parole dément également ce qu’elle qualifie de fausses accusations de contrebande de minerai, et ajoute que le rapport « déforme délibérément les préoccupations sécuritaires de longue date du Rwanda ». Les experts onusiens dénoncent la présence militaire de Kigali en RDC et son contrôle sur les opérations du M23 dans un objectif de conquête de territoire, constituant selon eux des actes susceptibles de sanctions. La « menace persistante des FDLR » soutient Yolande Makolo, justifie les mesures défensives de Kigali dans ses zones frontalières.
Le Rwanda est pleinement engagé dans la mise en œuvre de l’accord de paix signé à Washington, poursuit-elle, y compris dans la neutralisation des FDLR, qui permettra, affirme la porte-parole, le retrait des mesures défensives, le retour des réfugiés et la stabilité régionale.