D’après la secrétaire générale de l’EAC, Veronica Nduva, c’est en urgence que s’est organisée cette réunion car « la situation humanitaire a radicalement changé depuis le sommet de Dar es Salaam », peut-on lire dans les conclusions de la rencontre.
« Le M23 a étendu ses opérations dans le Sud-Kivu. Les combats se poursuivent aux alentours de Kamanyola et progressent dans le Lubero », poursuit le texte.
Face à cette dégradation, les chefs d’état-major font donc plusieurs recommandations, dont notamment la réouverture des routes par le M23, ainsi que des aéroports ou encore la mise en place d’une équipe technique EAC-SADC pour évaluer la situation humanitaire.
Les chefs d’état-major demandent également que les Nations unies modifient le mandat de la Monusco, afin qu’elle aide à sécuriser les Nord-Kivu et Sud-Kivu. C’est pourtant à la demande de Kinshasa que la mission des Nations unies avait quitté le Sud-Kivu, en juin.
Enfin, les chefs d’état-major appellent à la création d’une force hybride EAC-SADC-Union africaine pour sécuriser les territoires sous occupation du M23.
« Le M23 a étendu ses opérations dans le Sud-Kivu. Les combats se poursuivent aux alentours de Kamanyola et progressent dans le Lubero », poursuit le texte.
Face à cette dégradation, les chefs d’état-major font donc plusieurs recommandations, dont notamment la réouverture des routes par le M23, ainsi que des aéroports ou encore la mise en place d’une équipe technique EAC-SADC pour évaluer la situation humanitaire.
Les chefs d’état-major demandent également que les Nations unies modifient le mandat de la Monusco, afin qu’elle aide à sécuriser les Nord-Kivu et Sud-Kivu. C’est pourtant à la demande de Kinshasa que la mission des Nations unies avait quitté le Sud-Kivu, en juin.
Enfin, les chefs d’état-major appellent à la création d’une force hybride EAC-SADC-Union africaine pour sécuriser les territoires sous occupation du M23.