Donald Trump, candidat à sa réélection, était invité pour participer à un échange avec des électeurs de la primaire républicaine dans le New Hampshire. Au lendemain de sa condamnation pour agression sexuelle, Donald Trump s’est offert un prime time sur CNN, cette chaine de gauche qu’il aime tant détester, rapporte notre correspondant à Miami, David Thomson. Craignez-vous que cette affaire vous discrédite auprès des électeurs, lui demande la journaliste KaitlanCollins ? « Au contraire, répond Donald Trump. Cela n’a fait qu’améliorer mes sondages. »
L’ancien président, grand favori de la primaire républicaine, n’hésite pas au passage à moquer sa victime qui l’accuse de viol, sous les applaudissements de ses partisans. « Ils font ça pour interférer avec les élections. Cette femme, je ne la connais pas, je l’ai jamais rencontrée, je n’ai aucune idée de qui elle est, son chien s’appelle vagin », lance-t-il.
Attaques contre Joe Biden Le choix du New Hampshire ne devait rien au hasard. Cet État frontalier du Canada est parmi les premiers à organiser ses primaires républicaines début 2024. Une victoire garantirait à Donald Trump un élan précieux pour la suite de sa campagne.
Devant un public acquis à sa cause et souvent hilare - des électeurs ayant l'intention de voter à la primaire républicaine -, l'ancien président a commenté pêle-mêle plusieurs dossiers brûlants de l'actualité américaine comme l’immigration ou le droit à l’avortement. Il s'est par ailleurs montré extrêmement évasif sur la guerre en Ukraine, refusant de dire concrètement s'il souhaitait une victoire de Kiev ou de Moscou.
L’ancien président, grand favori de la primaire républicaine, n’hésite pas au passage à moquer sa victime qui l’accuse de viol, sous les applaudissements de ses partisans. « Ils font ça pour interférer avec les élections. Cette femme, je ne la connais pas, je l’ai jamais rencontrée, je n’ai aucune idée de qui elle est, son chien s’appelle vagin », lance-t-il.
L’ancien président, condamné pour agression sexuelle, refuse toujours de reconnaitre sa défaite à la dernière présidentielle. « Les élections étaient truquées », répète-t-il en boucle. Et quand la journaliste lui demande s’il s’engage à accepter le résultat de la prochaine présidentielle, Donald Trump refuse. « Sauf, dit-il, si ces élections sont honnêtes. »
Devant un public acquis à sa cause et souvent hilare - des électeurs ayant l'intention de voter à la primaire républicaine -, l'ancien président a commenté pêle-mêle plusieurs dossiers brûlants de l'actualité américaine comme l’immigration ou le droit à l’avortement. Il s'est par ailleurs montré extrêmement évasif sur la guerre en Ukraine, refusant de dire concrètement s'il souhaitait une victoire de Kiev ou de Moscou.