L’enquête avait été lancée après la diffusion d'une vidéo montrant un adolescent noir de 17 ans, abattu de 16 balles par un policier blanc, alors qu’il marchait au milieu d’une rue. Les autorités de Chicago avaient attendu plus d’un an avant de rendre public l’enregistrement de cette bavure.
Le rapport de 161 pages, que vient de publier le Département de la Justice, dénonce à ce propos un « code du silence » en vigueur chez les policiers. Il accuse une partie des 12 000 agents d’avoir « toléré des conduites discriminatoires sur le plan racial, qui ont contribué aux recours à la force excessive ».
L’enquête a été dévoilée par la ministre de la Justice, venue en personne à Chicago. Loretta Lynch, première femme noire à diriger la Justice américaine, a favorisé les investigations sensibles visant les forces de l’ordre américaines pendant le deuxième mandat de Barack Obama. Les enquêtes ont été menées sur les polices de Miami, Cleveland, Seattle, Los Angeles ou encore Pittsburgh.
Le successeur de Loretta Lynch aura sans doute une autre approche. Lors de son audition de nomination au Sénat, le conservateur Jeff Sessions a déjà exprimé son scepticisme sur les accords qui prévoient une supervision judiciaire de l’action de la police.
Le rapport de 161 pages, que vient de publier le Département de la Justice, dénonce à ce propos un « code du silence » en vigueur chez les policiers. Il accuse une partie des 12 000 agents d’avoir « toléré des conduites discriminatoires sur le plan racial, qui ont contribué aux recours à la force excessive ».
L’enquête a été dévoilée par la ministre de la Justice, venue en personne à Chicago. Loretta Lynch, première femme noire à diriger la Justice américaine, a favorisé les investigations sensibles visant les forces de l’ordre américaines pendant le deuxième mandat de Barack Obama. Les enquêtes ont été menées sur les polices de Miami, Cleveland, Seattle, Los Angeles ou encore Pittsburgh.
Le successeur de Loretta Lynch aura sans doute une autre approche. Lors de son audition de nomination au Sénat, le conservateur Jeff Sessions a déjà exprimé son scepticisme sur les accords qui prévoient une supervision judiciaire de l’action de la police.