L’ambassade d’Espagne au Sénégal apporte des éclairages sur l’expulsion «violente et barbare» de l’immigré sénégalais et tempère. «Suite aux informations apparues dans les médias portant sur l’expulsion d’un citoyen sénégalais le 15 juin 2009 à l’aéroport de Madrid, l’Ambassade d’Espagne au Sénégal se voit dans l’obligation d’expliquer l’incident et démentir toute accusation de traitement abusif ou comportement raciste de la part des autorités espagnoles», a indiqué le communiqué parvenu ce mercredi 24 juin à la rédaction de Pressafrik.com. La diplomatie espagnole à Dakar a tenu à indiquer que «la vidéo reprend uniquement une partie de l’incident et offre une vision partielle parce qu’elle omet la première partie de l’épisode où l’expulsé, refusant l’embarquement, offre une résistance violente contre son embarquement». Et de préciser : «les agents de police réduisent le détenu en utilisant une force nécessaire pour l’immobiliser et assurer son transfert du Commissariat à l’aéroport, ou il à été finalement libéré».
L’ambassade d’Espagne au Sénégal a souligné que «l’expulsé ne l’était pas par sa condition de «sans papiers» mais par ses antécédents de vols avec effraction et contre la propriété intellectuelle. A ceci s’ajoutait sa situation irrégulière en Espagne. Par conséquent, son origine, race ou nationalité n’avaient à l’occasion aucune importance».
Il faut, selon le communiqué, rappeler que l’Espagne, comme le Sénégal, est un État de Droit où nulle autorité n’est au dessus des lois. Le cas échéant, les voies existent pour de possibles réclamations administratives ou judiciaires contre des actes qui peuvent être considérés contraires à la légalité.
Et de rappeler : «depuis déjà quelques années, l’Espagne et le Sénégal travaillent conjointement dans un cadre de partenariat qui ne se limite pas, contrairement à ce qui a été publié, à la gestion des flux migratoires, mais surtout à la lutte contre la pauvreté et pour la sécurité alimentaire».
Le communiqué a ajouté que «l’Espagne a mis en place des instruments pour favoriser la migration légale, qui reste ouverte pour le Sénégal, malgré la délicate situation dans laquelle se trouve le marché de l’emploi en Espagne en raison de la conjoncture économique internationale».
L’ambassade d’Espagne a, en outre, estimé que «les expériences mauvaises existent et il faut porter attention sur elles, mais elles ne sauraient gâcher la bonne entente générale».
L’ambassade d’Espagne au Sénégal a souligné que «l’expulsé ne l’était pas par sa condition de «sans papiers» mais par ses antécédents de vols avec effraction et contre la propriété intellectuelle. A ceci s’ajoutait sa situation irrégulière en Espagne. Par conséquent, son origine, race ou nationalité n’avaient à l’occasion aucune importance».
Il faut, selon le communiqué, rappeler que l’Espagne, comme le Sénégal, est un État de Droit où nulle autorité n’est au dessus des lois. Le cas échéant, les voies existent pour de possibles réclamations administratives ou judiciaires contre des actes qui peuvent être considérés contraires à la légalité.
Et de rappeler : «depuis déjà quelques années, l’Espagne et le Sénégal travaillent conjointement dans un cadre de partenariat qui ne se limite pas, contrairement à ce qui a été publié, à la gestion des flux migratoires, mais surtout à la lutte contre la pauvreté et pour la sécurité alimentaire».
Le communiqué a ajouté que «l’Espagne a mis en place des instruments pour favoriser la migration légale, qui reste ouverte pour le Sénégal, malgré la délicate situation dans laquelle se trouve le marché de l’emploi en Espagne en raison de la conjoncture économique internationale».
L’ambassade d’Espagne a, en outre, estimé que «les expériences mauvaises existent et il faut porter attention sur elles, mais elles ne sauraient gâcher la bonne entente générale».