«Nous sommes dans une commune de 35 000 âmes et avant ces deux marchés, les infrastructures de base n’étaient pas au rendez-vous, mais nous sommes en train de vivre depuis un certain temps l’émergence ici à Diarrère», a déclaré le maire de la commune de Diarrère, Thérese Faye Diouf.
La directrice générale de l’Agence nationale de la case des tout-petits (ANCTP) d’ajouter, « aujourd’hui, une commune qui n’a pas un marché digne de ce nom, ne peut pas recouvrir des taxes dignes de ce nom».
A travers ces deux marchés, «les populations vont s’épanouir», s’est-t-elle- réjouit. Par ailleurs : «les femmes vont mener leurs activités génératrices de revenus mais aussi la commune va en tirer des profits parce que nos communes ne vivent que de collectes de taxes», a-t-elle souligné.
La directrice générale de l’Agence nationale de la case des tout-petits (ANCTP) d’ajouter, « aujourd’hui, une commune qui n’a pas un marché digne de ce nom, ne peut pas recouvrir des taxes dignes de ce nom».
A travers ces deux marchés, «les populations vont s’épanouir», s’est-t-elle- réjouit. Par ailleurs : «les femmes vont mener leurs activités génératrices de revenus mais aussi la commune va en tirer des profits parce que nos communes ne vivent que de collectes de taxes», a-t-elle souligné.