Prix du meilleur film d'Afrique centrale : la paire camerounaise Paul Samba et Chinepoh Cosson pour Rebel Pilgrim. Ecran du meilleur documentaire : Thomas Grand et Moussa Diop, du Sénégal. Le rideau tiré sur cette 22e édition, Bassek Ba Kobhio, réalisateur et directeur du festival Ecrans noirs, peut afficher sa satisfaction :
« C’est un très bon cru ! C’est un très bon cru divers. Des films qui sont venus de tous les coins de l’Afrique : du Maroc, de la Tanzanie, de l’Algérie, de la Tunisie, mais aussi de l’Afrique du Sud… un très bon cru avec une difficulté, d’ailleurs, au niveau de la sélection. Et ça c’est beau, quand la programmation a des difficultés au niveau du choix. »
« Une étoile qui brille dans le firmament »
Au compte des satisfactions, Maki'la, de la Congolaise Machérie Ekwa Bahango qui, pour un coup d’essai, a réalisé un coup de maître en remportant l’Ecran d’or, le prix le plus important du festival.
« C’est un très bon cru ! C’est un très bon cru divers. Des films qui sont venus de tous les coins de l’Afrique : du Maroc, de la Tanzanie, de l’Algérie, de la Tunisie, mais aussi de l’Afrique du Sud… un très bon cru avec une difficulté, d’ailleurs, au niveau de la sélection. Et ça c’est beau, quand la programmation a des difficultés au niveau du choix. »
« Une étoile qui brille dans le firmament »
Au compte des satisfactions, Maki'la, de la Congolaise Machérie Ekwa Bahango qui, pour un coup d’essai, a réalisé un coup de maître en remportant l’Ecran d’or, le prix le plus important du festival.