
L’organisation de la 30éme édition de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) s’est passée dans un contexte un peu complexe. Toutefois, la Guinée Equatoriale s’en est plutôt bien sorti et a tenu son pari. Seuls les incidents noté lors des demi-finales avec les supporters du Nzalang font tâche noire.
La Guinée a accepté l’organisation de la Can après le refus du Maroc, à deux mois de son ouverture, il se posait ainsi le souci de l’infrastructure et de la mobilisation populaire. Mais le défit été bien relevé, ils ont mis en place des stades et terrains d’entrainements de qualité, notamment à Malabo et Bata.
Selon l’As à Mongomo et Ebeveyin, les pelouses posées moins de 3 semaines auparavant n’ont pas garanti des conditions maximales d’expression pour les joueurs. Mais elles étaient acceptables, après les infrastructures c’est la mobilisation qui vient en deuxième position. La Guinée a bien réussi sur ce plan aussi plus qu’en 2012 alors que le pays avait beaucoup plus de temps de préparation.
Les stades étaient bien remplis lors des grands matchs. Une prouesse très belle d’autant plus que les supporters ont accompagné les équipes du fait de la propagation de la maladie Ebola. Le pays organisateur a eu une grande implication de l’état, le président de la république a offert 10000 billets d’entrée dans les différents stades. De même que les autorités locales, aussi les associations, les écoles, instituts et universités ont fait leur part de mobilisation.
La grande déception de cette Can sera sûrement les incidents notés lors de la rencontre en demi-finale entre le Ghana et la Guinée Equatoriale. Ces incidents on entrainé la suspension du match pendant une demi heure et occasionné plus de 30 blessés. Mais dans l’ensemble tout est bien qui fini bien, la Can a été remporté par la côte d’ivoire hier 8 février qui a tenu en échec le Ghana.
La Guinée a accepté l’organisation de la Can après le refus du Maroc, à deux mois de son ouverture, il se posait ainsi le souci de l’infrastructure et de la mobilisation populaire. Mais le défit été bien relevé, ils ont mis en place des stades et terrains d’entrainements de qualité, notamment à Malabo et Bata.
Selon l’As à Mongomo et Ebeveyin, les pelouses posées moins de 3 semaines auparavant n’ont pas garanti des conditions maximales d’expression pour les joueurs. Mais elles étaient acceptables, après les infrastructures c’est la mobilisation qui vient en deuxième position. La Guinée a bien réussi sur ce plan aussi plus qu’en 2012 alors que le pays avait beaucoup plus de temps de préparation.
Les stades étaient bien remplis lors des grands matchs. Une prouesse très belle d’autant plus que les supporters ont accompagné les équipes du fait de la propagation de la maladie Ebola. Le pays organisateur a eu une grande implication de l’état, le président de la république a offert 10000 billets d’entrée dans les différents stades. De même que les autorités locales, aussi les associations, les écoles, instituts et universités ont fait leur part de mobilisation.
La grande déception de cette Can sera sûrement les incidents notés lors de la rencontre en demi-finale entre le Ghana et la Guinée Equatoriale. Ces incidents on entrainé la suspension du match pendant une demi heure et occasionné plus de 30 blessés. Mais dans l’ensemble tout est bien qui fini bien, la Can a été remporté par la côte d’ivoire hier 8 février qui a tenu en échec le Ghana.