Les membres du Conseil de régulation de l’Autorité de régulation des marches publics (Armp) seraient dans l’illégalité depuis plusieurs jours. La raison, leur mandat a pris fin depuis le 11 avril dernier 2020. Son président, Omar Sakho, évoque la pandémie du coronavirus qui prévaut dans le pays pour expliquer cette situation.
Pourtant, c’est M. Sakho lui-même qui devait anticiper sur les mesures en enclenchant la procédure pour informer le président de la République, Macky Sall, via le Directeur général de l’Armp, que le mandat des membres est arrivé à son terme.
Joint par le journal « Les Echos » qui l’a interpellé sur cette non-anticipation de la procédure, M. Sakho « se braque, refusant de répondre ». Ainsi, souligne le quotidien, le fait que leur mandat est arrivé à terme montre que le Conseil est dans l’illégalité et toute décision prise serait illégale.
Nommés par décret présidentiel numéro 2017-527, les membres du Conseil de régulation a nombre de neuf (9), soit trois (3) pour chaque secteur composant le Conseil : l’Administration publique, la société civile, les organisations professionnelles du secteur privé.
Pourtant, c’est M. Sakho lui-même qui devait anticiper sur les mesures en enclenchant la procédure pour informer le président de la République, Macky Sall, via le Directeur général de l’Armp, que le mandat des membres est arrivé à son terme.
Joint par le journal « Les Echos » qui l’a interpellé sur cette non-anticipation de la procédure, M. Sakho « se braque, refusant de répondre ». Ainsi, souligne le quotidien, le fait que leur mandat est arrivé à terme montre que le Conseil est dans l’illégalité et toute décision prise serait illégale.
Nommés par décret présidentiel numéro 2017-527, les membres du Conseil de régulation a nombre de neuf (9), soit trois (3) pour chaque secteur composant le Conseil : l’Administration publique, la société civile, les organisations professionnelles du secteur privé.