La ruée des jeunes et de certains hommes d’affaires vers la commercialisation du bois est , à la délivrance du permis de coupe du bois à 20.000 F CFA par les Eaux et Forêts pour toute l’année. C’est pourquoi « beaucoup d’hommes d’affaires, et même des autorités administratives investissent des sommes d’argent faramineuses avoisinant des centaines de millions », raconte une source dans les colonnes de « L’AS ».
Ce qui fait que « ce business très florissant, génère beaucoup d’argent en Casamance. Et c’est très facile pour faire des économies », ajoute l’interlocuteur.
Et de révéler que« ces patrons qui viennent à Ziguinchor avec des mallettes d’argent, excellent non seulement, dans la vente du bois, mais aussi dans celle du charbon ».
La source informe qu’«ils ont leur équipe de jeunes, à qui, ils remettent de l’argent. Et, ces derniers vont acheter des permis de coupe au niveau des Eaux et Forêts ».
aussi soutient-elle que, « les coupeurs dépassent très largement le quota qui leur est octroyé dans le permis de coupe. C’est ce qui fait, qu’ils ont souvent des problèmes avec les Comités de surveillance des villages. Ils peuvent déclarer aux services des Eaux et Forêts une dizaine de troncs d’arbres, et une fois dans la forêt, ils chargent un camion ».
Par conséquent, l'écologiste Malang Goudiaby tire sur la sonnette d'alarme : «la forêt casamançaise a perdu ses arbres et le désert avance à grand pas. Il faut que des mesures draconiennes soient prises, sinon d’ici 20 ans, on ne va plus parler de forêt en Casamance »
Ce qui fait que « ce business très florissant, génère beaucoup d’argent en Casamance. Et c’est très facile pour faire des économies », ajoute l’interlocuteur.
Et de révéler que« ces patrons qui viennent à Ziguinchor avec des mallettes d’argent, excellent non seulement, dans la vente du bois, mais aussi dans celle du charbon ».
La source informe qu’«ils ont leur équipe de jeunes, à qui, ils remettent de l’argent. Et, ces derniers vont acheter des permis de coupe au niveau des Eaux et Forêts ».
aussi soutient-elle que, « les coupeurs dépassent très largement le quota qui leur est octroyé dans le permis de coupe. C’est ce qui fait, qu’ils ont souvent des problèmes avec les Comités de surveillance des villages. Ils peuvent déclarer aux services des Eaux et Forêts une dizaine de troncs d’arbres, et une fois dans la forêt, ils chargent un camion ».
Par conséquent, l'écologiste Malang Goudiaby tire sur la sonnette d'alarme : «la forêt casamançaise a perdu ses arbres et le désert avance à grand pas. Il faut que des mesures draconiennes soient prises, sinon d’ici 20 ans, on ne va plus parler de forêt en Casamance »