Présent à la cérémonie, le Ministre leur a fait savoir qu’il ne voulait pas venir. Parce que, dit-il, le Forum civil avait fait un rapport sans consulter le Ministère et ils l’ont rendu public avec des chiffres que nous contestions.
«Moi j’ai critiqué publiquement le rapport» a-t-il expliqué avant d’ajouter: «si vous faites la formation des journalistes sur la base de ce rapport, je pense que ce serait dommage». Pour lui, ce rapport n’avait pas tenu compte de la position officielle du Ministère et j’espère bien qu’en me faisant présider cet atelier c’est quelque part une manière de rectifier.
Le même incident s’est reproduit avec la Coalition des Organisations en Synergie pour la Défense de l'Education Publique (COSYDEP) qui, selon le Ministre, avait aussi fait un rapport que nous avons aussi critiqué et puis on s’est retrouvé, on a discuté et maintenant je pense qu’on est en parfaite adéquation sur nos analyses parce que nous tenons compte de leurs recommandations et eux aussi tiennent comptent de nos données et actuellement on a d’excellentes relations.
Kalidou Diallo espère que «ça va être la même chose avec le forum civil qui fait également un excellent travail au Sénégal. Il est écouté et est crédible». Et de revenir sur le document qu’il n’arrive pas à oublié «ce rapport là a quelque part modifié mon opinion par rapport à eux alors que j’appréciais ce qu’ils faisaient».
Pour rappel, le rapport avait indiqué que «les premières analyses se dégageant de cette étude mettent en évidence certaines limites du système éducatif sénégalais notamment un manque de transparence dans la gestion des ressources financières, humaines et matérielles, une mauvaise gestion des fonds alloués à l’éducation primaire qui engloutit 40% du budget de fonctionnement, le caractère inopérable des mécanismes de contrôle, la participation de plus en plus accrue des ménages dans les dépenses d’éducation».
Parmi les recommandations, le document avait prônait une amélioration des modes de gestion des ressources financières comme gage de qualité de l’éducation primaire au Sénégal. Une meilleure participation de tous les acteurs de l’école, usagers, prestataires, autorités locales et nationales favoriserait la mise en place de mécanismes de gestion efficiente de l’école.
«Moi j’ai critiqué publiquement le rapport» a-t-il expliqué avant d’ajouter: «si vous faites la formation des journalistes sur la base de ce rapport, je pense que ce serait dommage». Pour lui, ce rapport n’avait pas tenu compte de la position officielle du Ministère et j’espère bien qu’en me faisant présider cet atelier c’est quelque part une manière de rectifier.
Le même incident s’est reproduit avec la Coalition des Organisations en Synergie pour la Défense de l'Education Publique (COSYDEP) qui, selon le Ministre, avait aussi fait un rapport que nous avons aussi critiqué et puis on s’est retrouvé, on a discuté et maintenant je pense qu’on est en parfaite adéquation sur nos analyses parce que nous tenons compte de leurs recommandations et eux aussi tiennent comptent de nos données et actuellement on a d’excellentes relations.
Kalidou Diallo espère que «ça va être la même chose avec le forum civil qui fait également un excellent travail au Sénégal. Il est écouté et est crédible». Et de revenir sur le document qu’il n’arrive pas à oublié «ce rapport là a quelque part modifié mon opinion par rapport à eux alors que j’appréciais ce qu’ils faisaient».
Pour rappel, le rapport avait indiqué que «les premières analyses se dégageant de cette étude mettent en évidence certaines limites du système éducatif sénégalais notamment un manque de transparence dans la gestion des ressources financières, humaines et matérielles, une mauvaise gestion des fonds alloués à l’éducation primaire qui engloutit 40% du budget de fonctionnement, le caractère inopérable des mécanismes de contrôle, la participation de plus en plus accrue des ménages dans les dépenses d’éducation».
Parmi les recommandations, le document avait prônait une amélioration des modes de gestion des ressources financières comme gage de qualité de l’éducation primaire au Sénégal. Une meilleure participation de tous les acteurs de l’école, usagers, prestataires, autorités locales et nationales favoriserait la mise en place de mécanismes de gestion efficiente de l’école.