
Selon Pauline Jouan, directrice de cabinet de la préfète de Côte-d’Or, le bilan provisoire s’élève donc à dix-huit victimes, dont deux en état d’urgence absolue, douze blessés légers et quatre en état de choc. Aucun enfant ne figure au nombre des victimes.
Une explosion probablement liée au gaz
L’explosion «probablement liée au gaz», selon les secours, s’est produite vers 9 h 30 au 15, rue Pierre-Palliot dans un immeuble du quartier de la gare, qui a été entièrement bouclé.
En fin de matinée les secours exploraient toujours les décombres de cet immeuble d’un étage et d’une vingtaine de petits appartements, situé dans une arrière-cour, pour s’assurer qu’il n’y avait plus de victimes.
La procureure de la République de Dijon, Marie-Christine Tarrare, a exclu «tout acte terroriste». L’explosion est «probablement liée au gaz : il s’agit soit d’un accident, soit d’un acte suicidaire qui aurait provoqué l’explosion», a-t-elle précisé. Selon les secours, elle n’a pas été suivie d’un incendie, mais une partie intérieure de l’immeuble s’est effondrée. Les pompiers ont précisé que l’immeuble n’était pas raccordé au gaz de ville, qui a toutefois été coupé dans le quartier.
Selon le maire de Dijon, François Rebsamen (PS), qui s’est rendu sur place, l’immeuble « appartient à un bailleur privé ». Une soixantaine de pompiers assistés notamment d’une équipe cynophile, et une quinzaine de personnels du SAMU sont sur place.
Le 5 décembre 1999, une explosion due gaz dans un immeuble de Dijon avait fait onze morts et trois blessés.
Source: LeMonde
Une explosion probablement liée au gaz
L’explosion «probablement liée au gaz», selon les secours, s’est produite vers 9 h 30 au 15, rue Pierre-Palliot dans un immeuble du quartier de la gare, qui a été entièrement bouclé.
En fin de matinée les secours exploraient toujours les décombres de cet immeuble d’un étage et d’une vingtaine de petits appartements, situé dans une arrière-cour, pour s’assurer qu’il n’y avait plus de victimes.
La procureure de la République de Dijon, Marie-Christine Tarrare, a exclu «tout acte terroriste». L’explosion est «probablement liée au gaz : il s’agit soit d’un accident, soit d’un acte suicidaire qui aurait provoqué l’explosion», a-t-elle précisé. Selon les secours, elle n’a pas été suivie d’un incendie, mais une partie intérieure de l’immeuble s’est effondrée. Les pompiers ont précisé que l’immeuble n’était pas raccordé au gaz de ville, qui a toutefois été coupé dans le quartier.
Selon le maire de Dijon, François Rebsamen (PS), qui s’est rendu sur place, l’immeuble « appartient à un bailleur privé ». Une soixantaine de pompiers assistés notamment d’une équipe cynophile, et une quinzaine de personnels du SAMU sont sur place.
Le 5 décembre 1999, une explosion due gaz dans un immeuble de Dijon avait fait onze morts et trois blessés.
Source: LeMonde