L’ancien président de la République estime qu’Emmanuel Macron aurait dû parler des femmes qui accusent l’acteur plutôt que de lui rendre hommage sur le plateau de « C à vous » mercredi soir.
« Non, nous ne sommes pas fiers de Gérard Depardieu », a déclaré ce jeudi sur France Inter l’ancien président socialiste François Hollande, en réponse aux propos d’Emmanuel Macron, qui la veille a défendu l’acteur, visé par des plaintes pour viols et agressions sexuelles.
Sur France 5, mercredi soir, le président de la République s’est dit « grand admirateur de Gérard Depardieu (…) un immense acteur ». « Il a fait connaître la France, nos grands auteurs, nos grands personnages dans le monde entier (…) il rend fier la France », a poursuivi Emmanuel Macron, dénonçant la « chasse à l’homme » contre l’acteur, à la suite de la diffusion d’un « Compléments d’enquête », documentaire télé choc sur la star du cinéma. Près de 3 millions de personnes ont regardé l’interview d’Emmanuel Macron sur le plateau de « C à vous », délocalisé pour l’occasion dans la salle des fêtes de l’Élysée.
Cette déclaration d’Emmanuel Macron contraste avec l’annonce le 15 décembre de la ministre de la Culture Rima Abdul Malak d’une future « procédure disciplinaire » concernant la Légion d’honneur de l’acteur. La statue de cire du célèbre acteur a été retirée ce lundi du parcours de visite du musée Grévin, à Paris. La décision a été prise « devant les réactions négatives des visiteurs (en passant devant le personnage de cire de l’acteur), ainsi que sur nos réseaux sociaux », a précisé la direction du musée.
Les propos du chef de l’État ont fait réagir de nombreuses associations féministes et responsables politiques, alors que l’acteur, visé par deux plaintes en France pour viol et agression sexuelle, est mis en examen dans l’un des deux cas. Il réfute ces accusations.
Après une tribune signée dans le Journal du Dimanche (JDD) avec « toute sa famille », Julie Depardieu, la fille du comédien, avait repris la parole lundi soir sur CNews pour dénoncer la « chasse à l’homme » qui cible son père.
« Non, nous ne sommes pas fiers de Gérard Depardieu », a déclaré ce jeudi sur France Inter l’ancien président socialiste François Hollande, en réponse aux propos d’Emmanuel Macron, qui la veille a défendu l’acteur, visé par des plaintes pour viols et agressions sexuelles.
Sur France 5, mercredi soir, le président de la République s’est dit « grand admirateur de Gérard Depardieu (…) un immense acteur ». « Il a fait connaître la France, nos grands auteurs, nos grands personnages dans le monde entier (…) il rend fier la France », a poursuivi Emmanuel Macron, dénonçant la « chasse à l’homme » contre l’acteur, à la suite de la diffusion d’un « Compléments d’enquête », documentaire télé choc sur la star du cinéma. Près de 3 millions de personnes ont regardé l’interview d’Emmanuel Macron sur le plateau de « C à vous », délocalisé pour l’occasion dans la salle des fêtes de l’Élysée.
Cette déclaration d’Emmanuel Macron contraste avec l’annonce le 15 décembre de la ministre de la Culture Rima Abdul Malak d’une future « procédure disciplinaire » concernant la Légion d’honneur de l’acteur. La statue de cire du célèbre acteur a été retirée ce lundi du parcours de visite du musée Grévin, à Paris. La décision a été prise « devant les réactions négatives des visiteurs (en passant devant le personnage de cire de l’acteur), ainsi que sur nos réseaux sociaux », a précisé la direction du musée.
Les propos du chef de l’État ont fait réagir de nombreuses associations féministes et responsables politiques, alors que l’acteur, visé par deux plaintes en France pour viol et agression sexuelle, est mis en examen dans l’un des deux cas. Il réfute ces accusations.
Après une tribune signée dans le Journal du Dimanche (JDD) avec « toute sa famille », Julie Depardieu, la fille du comédien, avait repris la parole lundi soir sur CNews pour dénoncer la « chasse à l’homme » qui cible son père.