Convoqué par le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, le chargé d’affaires de l’Ambassade de Libye au Sénégal a fait face à la presse, ce jeudi. Dans sa convocation, iI s’agissait pour Me Sidiki Kaba de « lui signifier la profonde indignation » du président de la République, Macky Sall, « de la vente de migrants originaires d’Afrique subsaharienne sur le territoire libyen ».
Dans un reportage de la télévision américaine CNN sur la vente aux enchères d’êtres humains près de Tripoli (Libye), une douzaine de migrants ont été vendus par des passeurs pour des sommes allant de 500 à 700 dinars libyens (jusqu’à 435 euros). Ce type de marchés serait régulier.
Abordant cette situation des immigrés africains en Libye, Frgani Ali Abdel a indiqué qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les responsabilités tout en dénonçant une campagne médiatique dite dévastatrice que mènent les médias internationaux pour ternir l’image de la Libye.
Et, selon ces propres termes, « c’est au gouvernement sénégalais de faire une déclaration sur le sujet ». Car, « personnellement, (il n’a pas) d’informations faisant état d’un mauvais traitement subi par des Sénégalais ».
Le chargé des Affaires de l’Ambassade de Libye qui ne nie pas, ni ne confirme, assure qu’ « une enquête est ouverte », il « attend (donc) les conclusions » pour être plus précis. Pis, « la Libye ne peut pas contrôler ses bandes du fait de la situation qu’elle traverse bien qu’elle fasse des efforts », dit-il, soutenant que son pays « ne peut pas seul faire face à ce phénomène ». « C’est pour cette raison qu’elle sollicite la communauté internationale pour l’assister et l’aider », relaie Frgani Ali Abdel non sans affirmer que « les (bandits) exploitent le vide sécuritaire et politique pour agir avec l’aide d’autres bandes » qui « regroupent en leur sein des Africains et des non Africains. C’est un réseau international ».
Et, assure-t-il « tous les migrants sans exception seront rapatriés par l’organisme libyen de lutte contre l’immigration clandestine ».
Dans un reportage de la télévision américaine CNN sur la vente aux enchères d’êtres humains près de Tripoli (Libye), une douzaine de migrants ont été vendus par des passeurs pour des sommes allant de 500 à 700 dinars libyens (jusqu’à 435 euros). Ce type de marchés serait régulier.
Abordant cette situation des immigrés africains en Libye, Frgani Ali Abdel a indiqué qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les responsabilités tout en dénonçant une campagne médiatique dite dévastatrice que mènent les médias internationaux pour ternir l’image de la Libye.
Et, selon ces propres termes, « c’est au gouvernement sénégalais de faire une déclaration sur le sujet ». Car, « personnellement, (il n’a pas) d’informations faisant état d’un mauvais traitement subi par des Sénégalais ».
Le chargé des Affaires de l’Ambassade de Libye qui ne nie pas, ni ne confirme, assure qu’ « une enquête est ouverte », il « attend (donc) les conclusions » pour être plus précis. Pis, « la Libye ne peut pas contrôler ses bandes du fait de la situation qu’elle traverse bien qu’elle fasse des efforts », dit-il, soutenant que son pays « ne peut pas seul faire face à ce phénomène ». « C’est pour cette raison qu’elle sollicite la communauté internationale pour l’assister et l’aider », relaie Frgani Ali Abdel non sans affirmer que « les (bandits) exploitent le vide sécuritaire et politique pour agir avec l’aide d’autres bandes » qui « regroupent en leur sein des Africains et des non Africains. C’est un réseau international ».
Et, assure-t-il « tous les migrants sans exception seront rapatriés par l’organisme libyen de lutte contre l’immigration clandestine ».