Le Secrétaire général du SAEMS-CUSEMS qui regrette «ce qui est en train de se passer pour l’organisation du baccalauréat 2017», ne manque pas de rappeler qu’il avait déjà averti les Sénégalais «lorsque (qu’ils avaient) vu la fuite pour l’épreuve des Série L A, L1, de Philosophie».
«Aujourd’hui, il y a fuite en Français, il y a même fuite en Anglais. Dans cette dynamique-là, l’Etat n’a pas le choix, on doit s’arrêter, chercher à situer le plus rapidement possible les responsabilités pour que vraiment les coupables soient sanctionnés. Et, à partir de là, aller vers l’organisation de nouvelles épreuves», prône Saourou Sène.
L’enseignant qui considère «qu’il va falloir reprendre le bac», soutient que «nous n’avons pas le choix pour la bonne et simple raison que le bac, c’est une affaire sérieuse, c’est un diplôme qui a un caractère aussi bien national qu’international. Et, pour la crédibilité de l’examen, de l’Etat de Sénégal, nous ne pouvons pas fermer les yeux et foncer…. ».
«Aujourd’hui, il y a fuite en Français, il y a même fuite en Anglais. Dans cette dynamique-là, l’Etat n’a pas le choix, on doit s’arrêter, chercher à situer le plus rapidement possible les responsabilités pour que vraiment les coupables soient sanctionnés. Et, à partir de là, aller vers l’organisation de nouvelles épreuves», prône Saourou Sène.
L’enseignant qui considère «qu’il va falloir reprendre le bac», soutient que «nous n’avons pas le choix pour la bonne et simple raison que le bac, c’est une affaire sérieuse, c’est un diplôme qui a un caractère aussi bien national qu’international. Et, pour la crédibilité de l’examen, de l’Etat de Sénégal, nous ne pouvons pas fermer les yeux et foncer…. ».