«L’édition 2016 s’est passée le samedi dernier, et à notre grande surprise, le nouveau préfet du département, Makane Mbengue, en plein discours, a boudé la cérémonie officielle au nom de toute la famille mais aussi au nom du Chérif », a déploré Mohamed Aïdara qui s’est exprimé hier.
Continuant à fustiger cet acte Mohamed Aïdara peste : «C’est le manque de respect à l’endroit du Khalife, mais aussi vis-à-vis de la mission que lui a confié le président de la République. Et ce, au moment où moi, en tant que porte-parole du Khalife, je prononçais mon discours. Et ce que je disais, c’est que l’Etat a bien appuyé cette édition, mais il y avait eu des manquements».
Interpellé, Makane Mbengue déclare : «d’abord j’assume, je ne peux pas accepter qu’on attaque gratuitement les services de l’Etat. Un comité départemental de développement a été consacré à la préparation de l’évènement. Dans ces cas, l’Etat vient en appoint et il a fait ce qu’il a pu faire ».
Et le chef de l’administration locale de poursuivre : «le jour de la cérémonie, le porte-parole s’en est pris à l’Etat qui est un symbole. Il était le dernier orateur et quand il a pris la parole, j’avais déjà délivré mon message. Il ne dit pas la vérité et le lendemain, sachant ce qu’il a fait, il a voulu que je le reçoive, j’ai refusé».
Continuant à fustiger cet acte Mohamed Aïdara peste : «C’est le manque de respect à l’endroit du Khalife, mais aussi vis-à-vis de la mission que lui a confié le président de la République. Et ce, au moment où moi, en tant que porte-parole du Khalife, je prononçais mon discours. Et ce que je disais, c’est que l’Etat a bien appuyé cette édition, mais il y avait eu des manquements».
Interpellé, Makane Mbengue déclare : «d’abord j’assume, je ne peux pas accepter qu’on attaque gratuitement les services de l’Etat. Un comité départemental de développement a été consacré à la préparation de l’évènement. Dans ces cas, l’Etat vient en appoint et il a fait ce qu’il a pu faire ».
Et le chef de l’administration locale de poursuivre : «le jour de la cérémonie, le porte-parole s’en est pris à l’Etat qui est un symbole. Il était le dernier orateur et quand il a pris la parole, j’avais déjà délivré mon message. Il ne dit pas la vérité et le lendemain, sachant ce qu’il a fait, il a voulu que je le reçoive, j’ai refusé».