L’Alliance pour la République (APR) a fustigé « la prise d’otage » de Pape Malick Ndour, Coordonnateur national de la Convergence des Cadres Républicains (CCR). Selon le communiqué exploité par PressAfrik, « le responsable politique a été interpellé en pleine prière du vendredi par des gendarmes en civil avant d’être convoqué le même jour à 16 heures à la Section de Recherches de Colobane. » À l’issue de son audition, il a été placé en garde à vue.
Le parti de l’ancien président Macky Sall parle d’une « arrestation illégale et injuste » et dénonce « l’exécution d’ordres politiques par le parquet. » « Le Procureur de la République exécute les ordres de ministres, directeurs généraux et députés du Pastef qui, depuis une semaine, ne cessent de lui intimer l’ordre d’arrêter Pape Malick Ndour », accuse le communiqué.
Pour l’APR, cette interpellation marque une nouvelle étape dans « l’acharnement sans précédent contre le parti », estimant que son coordonnateur est « pris en otage conformément à la volonté du régime » actuel. Le Secrétariat exécutif national appelle ainsi ses responsables, militants et sympathisants « à utiliser toutes les voies de droit pour faire face à cette entreprise de répression politique ».
Le parti assure qu’il ne cédera pas à ce qu’il considère comme « une manœuvre de musellement de l’opposition et affirme qu’il continuera à défendre ses membres par les moyens légaux et démocratiques ».
Le parti de l’ancien président Macky Sall parle d’une « arrestation illégale et injuste » et dénonce « l’exécution d’ordres politiques par le parquet. » « Le Procureur de la République exécute les ordres de ministres, directeurs généraux et députés du Pastef qui, depuis une semaine, ne cessent de lui intimer l’ordre d’arrêter Pape Malick Ndour », accuse le communiqué.
Pour l’APR, cette interpellation marque une nouvelle étape dans « l’acharnement sans précédent contre le parti », estimant que son coordonnateur est « pris en otage conformément à la volonté du régime » actuel. Le Secrétariat exécutif national appelle ainsi ses responsables, militants et sympathisants « à utiliser toutes les voies de droit pour faire face à cette entreprise de répression politique ».
Le parti assure qu’il ne cédera pas à ce qu’il considère comme « une manœuvre de musellement de l’opposition et affirme qu’il continuera à défendre ses membres par les moyens légaux et démocratiques ».