Des explosions violentes ont encore secoué la ville de Gaza. Selon plusieurs témoins joints par l’AFP, des bombardements « massifs et incessants » ont visé des quartiers résidentiels dans la nuit de lundi à mardi 16 septembre. « De nombreuses personnes sont emprisonnées sous les débris et on peut entendre leurs cris », raconte Ahmed Ghazal, un habitant de 25 ans. « J'ai couru dans la rue, sur le site de la frappe », « trois maisons » d'un bloc résidentiel « ont été complètement rasées ». « De nombreuses personnes sont emprisonnées sous les débris et on peut entendre leurs cris. » Des témoins sur place affirment avoir vu des attaques d’hélicoptères de combats ainsi que des files de tanks dans les rues de la plus grande ville de l’enclave palestinienne, rapporte notre correspondant à Jérusalem, Michel Paul.
Le porte-parole de la Défense civile de la bande de Gaza Mahmoud Bassal évoque un « massacre majeur », avec un nombre de morts, de blessés et de disparus « qui continue d'augmenter ». La Défense civile avait fait état de 49 Palestiniens tués lundi, dont plus de la moitié à Gaza-ville, où l'armée a intensifié ses attaques avec l'objectif de s'en emparer.
Des officiels israéliens ont confirmé ce mardi à CNN et au site américain Axios que l’offensive au sol avait débuté. Plusieurs familles d’otages détenus à Gaza ont passé la nuit devant la résidence du premier ministre israélien, craignant pour la vie de leurs proches si l’offensive au sol s'accélère, raconte Frédérique Misslin, envoyée spéciale permanente de RFI à Jérusalem.
Le porte-parole de la Défense civile de la bande de Gaza Mahmoud Bassal évoque un « massacre majeur », avec un nombre de morts, de blessés et de disparus « qui continue d'augmenter ». La Défense civile avait fait état de 49 Palestiniens tués lundi, dont plus de la moitié à Gaza-ville, où l'armée a intensifié ses attaques avec l'objectif de s'en emparer.
Des officiels israéliens ont confirmé ce mardi à CNN et au site américain Axios que l’offensive au sol avait débuté. Plusieurs familles d’otages détenus à Gaza ont passé la nuit devant la résidence du premier ministre israélien, craignant pour la vie de leurs proches si l’offensive au sol s'accélère, raconte Frédérique Misslin, envoyée spéciale permanente de RFI à Jérusalem.