Cette longue soirée animée aura eu son lot de vainqueurs ; Davido, nommé meilleur artiste ouest-africain, ou encore Sandra Nankoma, meilleure artiste féminine de l'année. Mais pour l'artiste algérien DJ Moh Green, les trophées d'Afrima sont plus qu'une litanie de récompenses... « C'est énorme, dit-il, parce qu'en fin de compte on réunit tous les pays d'Afrique. J'étais avec des gens du Tchad, etc, on est en train de parler de collaborations. Je suis aussi en train de préparer le son de la CAN 2019 où je mets les grands artistes africains. On a le même message pour faire avancer la musique dans le monde entier et montrer une image de l'Afrique qui est forte. »
Si Gaz Mawete s'est incliné comme artiste prometteur de l'année face au Ghanéen Kwami Eugene, le chanteur congolais ne sera pas venu pour rien : « C'est une grosse lumière sur les artistes. On se voit très facilement ici, on a des échanges directs. En se voyant, on se dit, "ah j'aime bien ton titre Olingi Nini, j'ai vu sur YouTube"... Sur le coup on a eu des idées, pourquoi ne pas faire un truc ensemble. On va booker ça juste après Afrima. C'est plein de collaborations. Je préfère taire encore les noms, mais il y aura des surprises. » Cette année encore, Afrima mettait l'accent sur l'unité africaine à travers les arts.
Si Gaz Mawete s'est incliné comme artiste prometteur de l'année face au Ghanéen Kwami Eugene, le chanteur congolais ne sera pas venu pour rien : « C'est une grosse lumière sur les artistes. On se voit très facilement ici, on a des échanges directs. En se voyant, on se dit, "ah j'aime bien ton titre Olingi Nini, j'ai vu sur YouTube"... Sur le coup on a eu des idées, pourquoi ne pas faire un truc ensemble. On va booker ça juste après Afrima. C'est plein de collaborations. Je préfère taire encore les noms, mais il y aura des surprises. » Cette année encore, Afrima mettait l'accent sur l'unité africaine à travers les arts.