La situation devient de plus en plus préoccupante à Goudomp (sud) où la consommation de drogue, notamment du chanvre indien, s’est installée durablement dans le quotidien de nombreux jeunes. C’est un cri d’alarme que lance Souleymane Seydi, coordonnateur local du Forum Civil, qui tire la sonnette d’alarme face à un phénomène qui touche désormais le cœur même des foyers.
Selon lui, la drogue n’est plus seulement un fléau extérieur, elle est désormais ancrée dans les maisons, avec la complicité passive ou active de certains parents. "Aujourd’hui, la drogue circule librement, certains parents ferment les yeux, d’autres sont complices", déplore-t-il, soulignant que la jeunesse locale est de plus en plus vulnérable.
Le chanvre indien, plus connu sous le nom de Yamba, entre principalement par la Guinée-Bissau ou via le fleuve Casamance. Ce trafic transfrontalier implique malheureusement des fils du département, qui participent activement à la vente et à la distribution de la drogue dans la zone. "Nos propres jeunes deviennent vendeurs et trafiquants. Cela alimente un cercle vicieux dont il est difficile de sortir", avertit Seydi.
Les conséquences sont palpables : une recrudescence des actes de violence dans les familles et des troubles lors des événements culturels ou festifs, notamment les soirées dansantes organisées par les jeunes. Ces rassemblements deviennent parfois le théâtre d’agressions et de comportements dangereux sous l’effet des stupéfiants.
Face à cette situation inquiétante, le coordonnateur du Forum Civil appelle les autorités locales, les forces de sécurité et les leaders communautaires à agir rapidement. "Il est urgent de renforcer les contrôles aux frontières, mais aussi de mener des campagnes de sensibilisation auprès des jeunes et des familles pour stopper cette spirale destructrice", plaide-t-il.
La lutte contre la drogue à Goudomp ne peut être efficace qu’à travers une mobilisation collective et durable, car c’est toute une génération qui est aujourd’hui menacée, a-t-il alerté .
Selon lui, la drogue n’est plus seulement un fléau extérieur, elle est désormais ancrée dans les maisons, avec la complicité passive ou active de certains parents. "Aujourd’hui, la drogue circule librement, certains parents ferment les yeux, d’autres sont complices", déplore-t-il, soulignant que la jeunesse locale est de plus en plus vulnérable.
Le chanvre indien, plus connu sous le nom de Yamba, entre principalement par la Guinée-Bissau ou via le fleuve Casamance. Ce trafic transfrontalier implique malheureusement des fils du département, qui participent activement à la vente et à la distribution de la drogue dans la zone. "Nos propres jeunes deviennent vendeurs et trafiquants. Cela alimente un cercle vicieux dont il est difficile de sortir", avertit Seydi.
Les conséquences sont palpables : une recrudescence des actes de violence dans les familles et des troubles lors des événements culturels ou festifs, notamment les soirées dansantes organisées par les jeunes. Ces rassemblements deviennent parfois le théâtre d’agressions et de comportements dangereux sous l’effet des stupéfiants.
Face à cette situation inquiétante, le coordonnateur du Forum Civil appelle les autorités locales, les forces de sécurité et les leaders communautaires à agir rapidement. "Il est urgent de renforcer les contrôles aux frontières, mais aussi de mener des campagnes de sensibilisation auprès des jeunes et des familles pour stopper cette spirale destructrice", plaide-t-il.
La lutte contre la drogue à Goudomp ne peut être efficace qu’à travers une mobilisation collective et durable, car c’est toute une génération qui est aujourd’hui menacée, a-t-il alerté .