Le Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) s’est exprimé sur la situation actuelle du Sénégal. L’opposition souligne que « l'État du Sénégal traverse sans conteste la crise la plus aiguë de son existence ». Dans un communiqué très critique, le FDR estime que jamais, ni en 1962 pas plus qu’en 1968, en 1988 ou en 2021, le Sénégal n'aura présenté un « spectacle aussi désolant que celui auquel nous assistons ».
Le FDR pointe « l'échec de la gouvernance de PASTEF », qu’il juge « incapable de transformer le Sénégal comme promis, ni même de préserver les acquis », dit-il, « constitue le principal facteur explicatif de cette situation d'une gravité exceptionnelle ». Selon lui, cet « échec qui se manifeste tant sur le plan économique qu'institutionnel ».
Sur le plan économique, l’opposition affirme que le « Sénégal est devenu, en l'espace de vingt mois de gouvernance de PASTEF, un des pays les plus endettés d'Afrique, désormais transformé en proie facile pour les fonds vautours ». Pour le FDR, « l’État est ainsi et quasi officiellement au bord de la faillite, en raison de l'amateurisme et du populisme de ses dirigeants ».
Le Front de l’opposition indique également que les « Sénégalais, plus particulièrement les plus démunis, souffrent dans leur chair des entraves à l'économie », de la « prolifération de taxes en tous genres, de l'incapacité croissante de l'État à s'acquitter de ses obligations internes et engagements avec les travailleurs ».
Sur le plan politique, le FDR estime que les Institutions de la République connaissent un « sort tout aussi désastreux ». Il rappelle également que le « chef du gouvernement a accusé de hauts magistrats de complot à son encontre, tandis qu'un député de PASTEF vient d'accuser, publiquement, le Président de la République de perpétrer un « coup d'État » contre le Premier ministre ».
Le Front déplore que ces « graves accusations d’atteinte à la sureté de l’État et de subversion, portées contre le Premier ministre, demeurent à ce jour sans traitement connu ».
Pour le FDR, tout laisse ainsi présager que « l'échec de la gouvernance de PASTEF, de même que la nature véritable de cette organisation ». Selon lui, ces tensions révèlent non seulement « la véritable nature » du parti au pouvoir, mais aussi une crise interne susceptible de provoquer « une implosion à l’échelle nationale ».
Face à ce qu’il considère comme une « catastrophe imminente » pour le pays, le FDR appelle à un large sursaut national. Il invite les forces vives, ainsi que tous les Sénégalais et Sénégalaises, à se mobiliser pour « mettre un frein aux dérives » et éviter une situation « périlleuse » pour le Sénégal.
Le Front annonce la poursuite, dans les prochains jours, de son plan d’action destiné à concrétiser cet appel à un « sursaut salvateur pour la sauvegarde du Sénégal ».
Le FDR pointe « l'échec de la gouvernance de PASTEF », qu’il juge « incapable de transformer le Sénégal comme promis, ni même de préserver les acquis », dit-il, « constitue le principal facteur explicatif de cette situation d'une gravité exceptionnelle ». Selon lui, cet « échec qui se manifeste tant sur le plan économique qu'institutionnel ».
Sur le plan économique, l’opposition affirme que le « Sénégal est devenu, en l'espace de vingt mois de gouvernance de PASTEF, un des pays les plus endettés d'Afrique, désormais transformé en proie facile pour les fonds vautours ». Pour le FDR, « l’État est ainsi et quasi officiellement au bord de la faillite, en raison de l'amateurisme et du populisme de ses dirigeants ».
Le Front de l’opposition indique également que les « Sénégalais, plus particulièrement les plus démunis, souffrent dans leur chair des entraves à l'économie », de la « prolifération de taxes en tous genres, de l'incapacité croissante de l'État à s'acquitter de ses obligations internes et engagements avec les travailleurs ».
Sur le plan politique, le FDR estime que les Institutions de la République connaissent un « sort tout aussi désastreux ». Il rappelle également que le « chef du gouvernement a accusé de hauts magistrats de complot à son encontre, tandis qu'un député de PASTEF vient d'accuser, publiquement, le Président de la République de perpétrer un « coup d'État » contre le Premier ministre ».
Le Front déplore que ces « graves accusations d’atteinte à la sureté de l’État et de subversion, portées contre le Premier ministre, demeurent à ce jour sans traitement connu ».
Pour le FDR, tout laisse ainsi présager que « l'échec de la gouvernance de PASTEF, de même que la nature véritable de cette organisation ». Selon lui, ces tensions révèlent non seulement « la véritable nature » du parti au pouvoir, mais aussi une crise interne susceptible de provoquer « une implosion à l’échelle nationale ».
Face à ce qu’il considère comme une « catastrophe imminente » pour le pays, le FDR appelle à un large sursaut national. Il invite les forces vives, ainsi que tous les Sénégalais et Sénégalaises, à se mobiliser pour « mettre un frein aux dérives » et éviter une situation « périlleuse » pour le Sénégal.
Le Front annonce la poursuite, dans les prochains jours, de son plan d’action destiné à concrétiser cet appel à un « sursaut salvateur pour la sauvegarde du Sénégal ».