L’ancien Directeur général de l’ANEJ (Agence Nationale pour l’Emploi des Jeunes) au chevet des grévistes de la faim «pour marquer son soutien, sa solidarité» aux ex-agents des agences dissoutes en grève de la faim depuis mardi dernier. «Aujourd’hui nous avons décidé de nous impliquer parce qu’il faut mettre fin à cette situation », campe Abdou Khafor Touré qui ne rate pas l’Etat du Sénégal. «Le problème est très simple, c’est que l’Etat a commis des erreurs dans le processus de fusion parce qu’en réalité l’Etat pouvait procéder à la fusion en transférant l’actif et le passif à la nouvelle structure. Ce n’est pas l’option qui a été choisie. On a créé une nouvelle structure et on a pris parallèlement un décret de dissolution des structures, ce qui a amené cette situation-là », tance l’ex-DG de l’ANEJ.
«Ces gens-là sont dans leurs droits, ils ont utilisé toutes les voies de recours pour rentrer dans leurs fonds. Avec un contrat de travail, ils ont droit à des indemnités de licenciement ou à la réintégration », clôt le responsable du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Au quatrième jour de leur plan d'action, six (6) grévistes ont été évacués à l'hôpital.
«Ces gens-là sont dans leurs droits, ils ont utilisé toutes les voies de recours pour rentrer dans leurs fonds. Avec un contrat de travail, ils ont droit à des indemnités de licenciement ou à la réintégration », clôt le responsable du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Au quatrième jour de leur plan d'action, six (6) grévistes ont été évacués à l'hôpital.