Le président de SOS Consommateurs et avocat à la cour, Me Massokhna Kane s’est exprimé sur les mouvements d’humeur récurent constatés dans le secteur de la justice. Selon la robe noire, cela impacte négativement sur les populations. « Trop, c’est trop ! Les citoyens font des kilomètres pour obtenir des papiers, mais trouvent les bureaux vides. Ce n’est pas acceptable. Il doit y avoir un service minimum, car le service public est censé être permanent », a -t-il fustigé.
A en croire Me Kane, «la justice est un problème majeur dans ce pays, et cela ne date pas d’aujourd’hui ». Ajoutant : « il y a ceux qui font correctement leur travail, mais aussi ceux qui ne le font pas, et il faut le dire ».
D’après lui, continuer à percevoir un « salaire sans travailler constitue une injustice pour les contribuables ». « Les deniers publics doivent rémunérer un service rendu. Ceux qui ne travaillent pas ne devraient pas être payés », a-t-il lancé lors de son passage à l’émission « En Vérité sur Radio Sénégal ce dimanche 6 juillet ».
Indiquant avoir appris que « « neuf des dix points de revendication ont déjà été satisfaits », l’avocat invite les plaignants au dialogue. « Il reste le point du reclassement. Ils doivent continuer les discussions tout en assurant le service. Le droit de grève est garanti par la Constitution, mais il est aussi encadré ».
A en croire Me Kane, «la justice est un problème majeur dans ce pays, et cela ne date pas d’aujourd’hui ». Ajoutant : « il y a ceux qui font correctement leur travail, mais aussi ceux qui ne le font pas, et il faut le dire ».
D’après lui, continuer à percevoir un « salaire sans travailler constitue une injustice pour les contribuables ». « Les deniers publics doivent rémunérer un service rendu. Ceux qui ne travaillent pas ne devraient pas être payés », a-t-il lancé lors de son passage à l’émission « En Vérité sur Radio Sénégal ce dimanche 6 juillet ».
Indiquant avoir appris que « « neuf des dix points de revendication ont déjà été satisfaits », l’avocat invite les plaignants au dialogue. « Il reste le point du reclassement. Ils doivent continuer les discussions tout en assurant le service. Le droit de grève est garanti par la Constitution, mais il est aussi encadré ».