Jeudi, Bruxelles a mis en garde les grandes plates-formes, dont le réseau social chinois, sur leur obligation de lutter contre les « contenus illégaux » et les « fausses informations », en application du nouveau règlement européen sur le numérique (DSA).
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https://www.lemonde.fr/pixels/article/2023/10/16/guerre-israel-hamas-tiktok-annonce-avoir-supprime-plus-de-500-000-videos-et-ferme-8-000-diffusions-en-direct_6194790_4408996.html
Enquête approfondie sur X
Twitter (récemment renommé X), particulièrement visé par les critiques de la Commission européenne, a déclaré avoir supprimé ou signalé « des dizaines de milliers de messages » mais, jugeant sa réponse insuffisante, Bruxelles a ouvert une « enquête plus approfondie » contre le réseau d’Elon Musk, a rappelé Thierry Breton à Paris lundi.
Le commissaire européen tire parti des toutes nouvelles dispositions prévues par le Digital Services Act (DSA), un ensemble de mesures imposant aux grands réseaux sociaux une obligation de moyens et de transparence en matière de modération des contenus. Les autorités européennes peuvent solliciter des informations détaillées sur les outils et pratiques mises en place par ces entreprises, qui s’exposent, en cas de manquements, à des sanctions pouvant atteindre 6 % de leur chiffre d’affaires mondial et même à un blocage pur et simple sur le territoire de l’Union européenne.
Dans un premier temps, Twitter avait répondu de manière moqueuse aux demandes de M. Breton, par la voix de son président Elon Musk. M. Musk avait exigé que la Commission européenne détaille publiquement la liste des contenus jugés problématiques, et feint d’ignorer de quoi parlait M. Breton, avant que la directrice générale de l’entreprise, Linda Yaccarino, ne réponde au courrier formel de M. Breton.
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Enquête approfondie sur X
Twitter (récemment renommé X), particulièrement visé par les critiques de la Commission européenne, a déclaré avoir supprimé ou signalé « des dizaines de milliers de messages » mais, jugeant sa réponse insuffisante, Bruxelles a ouvert une « enquête plus approfondie » contre le réseau d’Elon Musk, a rappelé Thierry Breton à Paris lundi.
Le commissaire européen tire parti des toutes nouvelles dispositions prévues par le Digital Services Act (DSA), un ensemble de mesures imposant aux grands réseaux sociaux une obligation de moyens et de transparence en matière de modération des contenus. Les autorités européennes peuvent solliciter des informations détaillées sur les outils et pratiques mises en place par ces entreprises, qui s’exposent, en cas de manquements, à des sanctions pouvant atteindre 6 % de leur chiffre d’affaires mondial et même à un blocage pur et simple sur le territoire de l’Union européenne.
Dans un premier temps, Twitter avait répondu de manière moqueuse aux demandes de M. Breton, par la voix de son président Elon Musk. M. Musk avait exigé que la Commission européenne détaille publiquement la liste des contenus jugés problématiques, et feint d’ignorer de quoi parlait M. Breton, avant que la directrice générale de l’entreprise, Linda Yaccarino, ne réponde au courrier formel de M. Breton.