Une semaine après le massacre perpétré au stade de Conakry, les Guinéens restent horrifiés et sans réponse par rapport à la violence qui s’est déchaînée. Les bérets rouges non seulement ont tué de très nombreux militants venus assister au meeting de l’opposition, mais ils ont aussi commis des viols dont le nombre et la brutalité était jusqu’ici inconnus dans ce pays.
Source : http://www.rfi.fr/actufr/articles/118/article_8530...