En Guinée, des tee-shirts, des casquettes floqués « oui », des rassemblements et des messages d'appel à la participation au référendum sur les médias d'État se succèdent à travers le pays. Depuis un mois, Conakry comme les principales villes guinéennes vivent au rythme de la vulgarisation du projet de nouvelle constitution.
Mais pour Souleymane Souza Konaté de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée, principal parti d'opposition, il ne s’agit pas d’une simple campagne de sensibilisation. « Sous couvert de vulgarisation du projet de constitution, notre administration publique est mobilisée pour une campagne déguisée en faveur du « oui », au profit d'une promotion du maintien du général Doumbouya au pouvoir. Aucun débat sérieux sur le contenu du texte constitutionnel proposé aux Guinéens ».
Le Conseil national de la Société civile guinéenne, rejette ces accusations, par la voix de son président, Gabriel Haba. « Ils ont le droit de critiquer le processus, mais je les invite à rester dans la compréhension et dans la critique objective. Aujourd'hui, je n'ai pas de preuve qui démontrent que les moyens de l'État sont en train d'être utilisés de façon déguisée, d'avoir utilisé les moyens pour aller faire des campagnes ».
Le référendum annoncé pour le 25 septembre 2025 sera la première étape pour la sortie de la transition. Les dates de tenues d'élections législatives et présidentielles ne sont en revanche toujours pas connues.
Mais pour Souleymane Souza Konaté de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée, principal parti d'opposition, il ne s’agit pas d’une simple campagne de sensibilisation. « Sous couvert de vulgarisation du projet de constitution, notre administration publique est mobilisée pour une campagne déguisée en faveur du « oui », au profit d'une promotion du maintien du général Doumbouya au pouvoir. Aucun débat sérieux sur le contenu du texte constitutionnel proposé aux Guinéens ».
Le Conseil national de la Société civile guinéenne, rejette ces accusations, par la voix de son président, Gabriel Haba. « Ils ont le droit de critiquer le processus, mais je les invite à rester dans la compréhension et dans la critique objective. Aujourd'hui, je n'ai pas de preuve qui démontrent que les moyens de l'État sont en train d'être utilisés de façon déguisée, d'avoir utilisé les moyens pour aller faire des campagnes ».
Le référendum annoncé pour le 25 septembre 2025 sera la première étape pour la sortie de la transition. Les dates de tenues d'élections législatives et présidentielles ne sont en revanche toujours pas connues.