Le ministère du Commerce réagit suite à l’annonce unilatérale du dialogue avec les boulangers du Sénégal. Il appelle ces derniers qui envisagent de mener un vaste de plan de revendications dont une grève les prochains jours, au calme et à la sérénité.
« Aujourd’hui, à notre grande surprise, c’est à travers la presse que nous avons entendu qu’ils ne vont plus participer aux travaux, nous en prenons acte, mais nous leur continuons à leurs ouvrier nos porte », déclare le Directeur de commerce qui les invite à reprendre les discussions avec les parties prenantes.
Ousmane Mbaye revient sur les détails des discussions entrepris avec les boulangers. « Le 18 avril dernier, le ministre du Commerce avait signé un protocole avec les boulangers, les meuniers, un protocole d’accord. La structure de prix a été assise sur une capacité de production journalière de 10 sacs de farine pour une boulangerie », rappelle-t-il.
À l’en croire, les boulangers ont estimé qu’aujourd’hui, que la moyenne en terme de production est très en deçà de 10 sacs. « Mais nous regardons les portes de charges que nous avons retenu dans la structure de prix, nous les avons retenu en vue d’aller vers une boulangerie moderne. Nous avons estimé aussi que ces charges sont tellement importantes qu’il faudrait les retenir pour une bonne boulangerie qui était en mesure de produire 10 sacs par jour », informe-t-il.
Parce que, explique le Directeur du commerce, « c’est à ce niveau là, que nous avons des difficultés, si avec toutes ces charges, une boulangerie ne produit que 7, 5 ou 3 sacs, là ce sera le consommateur qui sera appelé à payer le non rentabilité de ces boulangers ».
« Aujourd’hui, à notre grande surprise, c’est à travers la presse que nous avons entendu qu’ils ne vont plus participer aux travaux, nous en prenons acte, mais nous leur continuons à leurs ouvrier nos porte », déclare le Directeur de commerce qui les invite à reprendre les discussions avec les parties prenantes.
Ousmane Mbaye revient sur les détails des discussions entrepris avec les boulangers. « Le 18 avril dernier, le ministre du Commerce avait signé un protocole avec les boulangers, les meuniers, un protocole d’accord. La structure de prix a été assise sur une capacité de production journalière de 10 sacs de farine pour une boulangerie », rappelle-t-il.
À l’en croire, les boulangers ont estimé qu’aujourd’hui, que la moyenne en terme de production est très en deçà de 10 sacs. « Mais nous regardons les portes de charges que nous avons retenu dans la structure de prix, nous les avons retenu en vue d’aller vers une boulangerie moderne. Nous avons estimé aussi que ces charges sont tellement importantes qu’il faudrait les retenir pour une bonne boulangerie qui était en mesure de produire 10 sacs par jour », informe-t-il.
Parce que, explique le Directeur du commerce, « c’est à ce niveau là, que nous avons des difficultés, si avec toutes ces charges, une boulangerie ne produit que 7, 5 ou 3 sacs, là ce sera le consommateur qui sera appelé à payer le non rentabilité de ces boulangers ».