Le Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement alerte sur la montée des eaux des fleuves Gambie et Sénégal, qui pourrait entraîner des débordements dans certaines zones basses. Cette surveillance s’appuie sur les stations hydrométriques installées pour suivre en temps réel la situation.
Pour le fleuve Gambie, la station de Kédougou a enregistré une hausse spectaculaire en 24 heures, passant de 3,95 mètres jeudi 14 août à 6,40 mètres vendredi 15 août à 16 heures, alors que la cote d’alerte est fixée à 7 mètres.
Sur le fleuve Sénégal, la progression est plus modérée. À Bakel, le niveau est passé de 8,09 mètres à 8,29 mètres pour une cote d’alerte de 10 mètres, tandis qu’à Matam, il est passé de 6,43 mètres à 6,77 mètres sur une cote d’alerte de 8 mètres. Selon le ministère, « si la situation pluvio-orageuse actuelle se poursuit, le seuil critique pourrait être atteint dans les prochaines heures à Kédougou puis à Matam et Bakel, avec des débordements par endroits, notamment dans les zones basses ».
Le ministère invite les populations riveraines et les acteurs économiques situés aux abords des fleuves « à observer une vigilance maximale au passage de l’onde de crue et à prendre toutes les dispositions nécessaires pour se prémunir d’éventuels dégâts liés au débordement du cours d’eau ».
Pour le fleuve Gambie, la station de Kédougou a enregistré une hausse spectaculaire en 24 heures, passant de 3,95 mètres jeudi 14 août à 6,40 mètres vendredi 15 août à 16 heures, alors que la cote d’alerte est fixée à 7 mètres.
Sur le fleuve Sénégal, la progression est plus modérée. À Bakel, le niveau est passé de 8,09 mètres à 8,29 mètres pour une cote d’alerte de 10 mètres, tandis qu’à Matam, il est passé de 6,43 mètres à 6,77 mètres sur une cote d’alerte de 8 mètres. Selon le ministère, « si la situation pluvio-orageuse actuelle se poursuit, le seuil critique pourrait être atteint dans les prochaines heures à Kédougou puis à Matam et Bakel, avec des débordements par endroits, notamment dans les zones basses ».
Le ministère invite les populations riveraines et les acteurs économiques situés aux abords des fleuves « à observer une vigilance maximale au passage de l’onde de crue et à prendre toutes les dispositions nécessaires pour se prémunir d’éventuels dégâts liés au débordement du cours d’eau ».