Un mois d’avril de feux au Sénégal où depuis le week end dernier, pas moins de huit (8) incendies se sont déclarés. Lourd en pertes de vies humaines, le sinistre survenu au Daaka de Médina Gounass a tué vingt-cinq (25) personnes. Sur la question, la Direction de la Protection Civile (DPC) met en avant les facteurs sources de feux : la canicule et le vent.
«Ces facteurs constituent souvent des sources de feux au niveau des établissements ou espaces publics que sont les marchés et autres», avertit le chef d’Études et Opérations à la DPC.
Le commandant Aly Cissé de poursuivre : «Après la fermeture des marchés, souvent les commerçants ont tendance à négliger ou bien à oublier d’éteindre complètement les lampes ou les rallonges, soit ce sont des fourneaux qui ne sont pas éteints». Et, dans ces cas, dit-il: «Il suffit qu’il y ait un petit vent pour créer le feu».
Abordant les circonstances aggravantes, il déplore «l’absence totale des moyens de secours au niveau des établissements». «Les établissements comme les marchés devaient normalement avoir dans chaque coin des bouches d’incendies avec une bonne pression d’eau qui pourrait faciliter l’intervention des secours en cas d’intervention», sert-il. Avant de relever l’anarchie dans les marchés. Ce qui, selon ces propres termes, «fait que les secours rencontrent d’énormes difficultés pour y accéder; soit les rues sont étroites soit il y a des étals partout».
Le chef d’Études et Opérations à la DPC pointe aussi du doigt le non-respect des normes de sécurité.
Face à la recrudescence des incendies sous nos cieux, le commandant Aly Cissé invite les populations «garder la tête froide». «Il ne faut pas paniquer parce que c'est souvent la panique qui alourdit le bilan. S’il y a un affolement, chacun tente de se sauver et cela peut créer une bousculade et entrainer des morts d’hommes», souligne-t-il.
«Ces facteurs constituent souvent des sources de feux au niveau des établissements ou espaces publics que sont les marchés et autres», avertit le chef d’Études et Opérations à la DPC.
Le commandant Aly Cissé de poursuivre : «Après la fermeture des marchés, souvent les commerçants ont tendance à négliger ou bien à oublier d’éteindre complètement les lampes ou les rallonges, soit ce sont des fourneaux qui ne sont pas éteints». Et, dans ces cas, dit-il: «Il suffit qu’il y ait un petit vent pour créer le feu».
Abordant les circonstances aggravantes, il déplore «l’absence totale des moyens de secours au niveau des établissements». «Les établissements comme les marchés devaient normalement avoir dans chaque coin des bouches d’incendies avec une bonne pression d’eau qui pourrait faciliter l’intervention des secours en cas d’intervention», sert-il. Avant de relever l’anarchie dans les marchés. Ce qui, selon ces propres termes, «fait que les secours rencontrent d’énormes difficultés pour y accéder; soit les rues sont étroites soit il y a des étals partout».
Le chef d’Études et Opérations à la DPC pointe aussi du doigt le non-respect des normes de sécurité.
Face à la recrudescence des incendies sous nos cieux, le commandant Aly Cissé invite les populations «garder la tête froide». «Il ne faut pas paniquer parce que c'est souvent la panique qui alourdit le bilan. S’il y a un affolement, chacun tente de se sauver et cela peut créer une bousculade et entrainer des morts d’hommes», souligne-t-il.