Dans un communiqué publié ce 19 janvier, plusieurs expertes des Nations Unies ont demandé à la France d’agir « de toute urgence » pour lutter contre l’inceste. 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles chaque année en France.
Plusieurs expertes indépendantes de l’Onu ont appelé, ce vendredi 19 janvier 2024, la France à « agir de toute urgence » pour protéger les enfants contre l’inceste et toutes les formes d’abus sexuels, relaie l’AFP.
Deux rapporteuses spéciales et les cinq expertes du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles demandent également aux autorités françaises de « s’attaquer aux traitements discriminatoires et aux violences subies par les mères qui tentent de protéger leurs enfants de la prédation sexuelle ».
Deux rapporteuses spéciales et les cinq expertes du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles demandent également aux autorités françaises de « s’attaquer aux traitements discriminatoires et aux violences subies par les mères qui tentent de protéger leurs enfants de la prédation sexuelle ».
160 000 enfants victimes de violences sexuelles chaque année
Cette alerte intervient alors que la Commission inceste a été renouvelée pour 2024 mais sous une nouvelle forme, ce qui suscite la critique de plusieurs associations. Par ailleurs, le communiqué de l’Onu a été publié alors que les 82 mesures préconisées pour lutter contre l’inceste par la Commission Indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants sont actuellement discutées. « Nous serons vigilants à ce qu’un maximum d’entre elles puissent être mises en place », confiait à Ouest-France mi décembre Sébastien Boueilh, fondateur de l’association Colosse aux pieds d’argile, et président de la nouvelle Commission Inceste.
Plusieurs expertes indépendantes de l’Onu ont appelé, ce vendredi 19 janvier 2024, la France à « agir de toute urgence » pour protéger les enfants contre l’inceste et toutes les formes d’abus sexuels, relaie l’AFP.
Deux rapporteuses spéciales et les cinq expertes du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles demandent également aux autorités françaises de « s’attaquer aux traitements discriminatoires et aux violences subies par les mères qui tentent de protéger leurs enfants de la prédation sexuelle ».
Deux rapporteuses spéciales et les cinq expertes du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles demandent également aux autorités françaises de « s’attaquer aux traitements discriminatoires et aux violences subies par les mères qui tentent de protéger leurs enfants de la prédation sexuelle ».
160 000 enfants victimes de violences sexuelles chaque année
Cette alerte intervient alors que la Commission inceste a été renouvelée pour 2024 mais sous une nouvelle forme, ce qui suscite la critique de plusieurs associations. Par ailleurs, le communiqué de l’Onu a été publié alors que les 82 mesures préconisées pour lutter contre l’inceste par la Commission Indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants sont actuellement discutées. « Nous serons vigilants à ce qu’un maximum d’entre elles puissent être mises en place », confiait à Ouest-France mi décembre Sébastien Boueilh, fondateur de l’association Colosse aux pieds d’argile, et président de la nouvelle Commission Inceste.