Il est des matches qui marquent l'histoire d'une compétition. Celui de ce mardi soir à Dortmund en fait forcément partie. Mené 2-1 dans le temps additionnel par une équipe de Malaga décomplexée, et donc virtuellement qualifiée après le 0-0 de l'aller, le Borussia a réussi l'exploit d'inscrire en deux minutes les deux buts nécessaires à sa survie pour arracher son billet pour le dernier carré (3-2).
Très entreprenant, le BvB s'est procuré les meilleures occasions, notamment par Lewandoski (16e, 48e), qui s'est également vu refuser un but pour hors-jeu (69e). Malgré cela, c'est Malaga qui a ouvert le score, par le virevoltant Joaquin (25e). Pour leur première participation à la Ligue des champions, les Andalous ont alors géré, en vieux briscards. Même l'égalisation allemande, signée Lewandoski (40e), n'y a rien fait. A 1-1, la qualification était leur. Le but d'Eliseu (82e), validé alors qu'il était en position de hors-jeu, devait même les mettre à l'abri. Mais c'était sans compter sur la ténacité du double champion d'Allemagne 2011 et 2012.
Malaga s'en souviendra longtemps
Le Signal Iduna Park a joué à merveille son rôle de 12e homme pour pousser les siens à se transcender. Caballero, le gardien espagnol, a longtemps repoussé l'échéance (48e, 53e, 79e), avant de céder dans le temps additionnel. Marco Reus récupérerait d'abord le ballon dans un cafouillage et le poussait dans le but vide (90e+1). Puis Santana, sur un autre cafouillage encore plus bouillant, inscrivait le but de la qualification, alors qu'il était lui aussi hors-jeu (90e+3). Un coup de génie pour Dortmund, un véritable coup de massue pour Malaga, qui sort la tête haute, mais pleine de regrets.
Très entreprenant, le BvB s'est procuré les meilleures occasions, notamment par Lewandoski (16e, 48e), qui s'est également vu refuser un but pour hors-jeu (69e). Malgré cela, c'est Malaga qui a ouvert le score, par le virevoltant Joaquin (25e). Pour leur première participation à la Ligue des champions, les Andalous ont alors géré, en vieux briscards. Même l'égalisation allemande, signée Lewandoski (40e), n'y a rien fait. A 1-1, la qualification était leur. Le but d'Eliseu (82e), validé alors qu'il était en position de hors-jeu, devait même les mettre à l'abri. Mais c'était sans compter sur la ténacité du double champion d'Allemagne 2011 et 2012.
Malaga s'en souviendra longtemps
Le Signal Iduna Park a joué à merveille son rôle de 12e homme pour pousser les siens à se transcender. Caballero, le gardien espagnol, a longtemps repoussé l'échéance (48e, 53e, 79e), avant de céder dans le temps additionnel. Marco Reus récupérerait d'abord le ballon dans un cafouillage et le poussait dans le but vide (90e+1). Puis Santana, sur un autre cafouillage encore plus bouillant, inscrivait le but de la qualification, alors qu'il était lui aussi hors-jeu (90e+3). Un coup de génie pour Dortmund, un véritable coup de massue pour Malaga, qui sort la tête haute, mais pleine de regrets.