Indignation de la classe politique en Algérie après l'attentat de Tamanrasset

En Algérie, le Premier ministre Ahmed Ouyahia et les présidents des Assemblées ont élevé la voix au lendemain de l’attentat de Tamanrasset. Une voiture piégée contre la brigade de gendarmerie de cette ville du sud de l'Algérie a fait 23 blessés, le samedi 3 mars 2012. C’est le premier attentat à l'explosif commis dans cette région tout proche du Niger et du Mali. Une action immédiatement revendiquée par le Mouvement unicité et jihad en Afrique de l'Ouest, qui serait une dissidence d'al-Qaïda au Maghreb islamique.



Le Premier ministre algérien,Ahmed Ouyahia. AFP PHOTO/FAROUK BATICHE
Condamnation de la classe politique algérienne: "Il est très rare que les responsables politiques algériens commentent les attaques terroristes qui se produisent dans le pays. Pourtant, depuis hier, les réactions se multiplient après l’attentat kamikaze contre la gendarmerie de Tamanrasset".
Audio RFI

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Charles Thialice SENGHOR

Lundi 5 Mars 2012 09:56


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