La traque des auteurs du massacre de 13 coupeurs de bois dans la forêt de Boffa s’intensifie. En effet, le Commandement de l’armée sénégalaise qui pense que les criminels se sont réfugiés en Guinée Bissau, envisage sérieusement de franchir sa frontière avec le Sénégal, pour leur mettre la main dessus.
Ces informations relatées par le quotidien Le Témoin témoignent du désir des militaires de faire punir les auteurs de cet acte survenu le samedi 6 janvier dernier, qui avait suscité l’émoi de tous les Sénégalais.
A en croire le journal, il ne devrait pas y avoir d’objections chez les Bissau-guinéens d’autant plus qu’un accord avait été signé en 1995 entre les deux pays. Et dans ledit accord, l’autorisation a été donnée au Sénégal de pénétrer jusqu’à 10 Km chez nos voisins, pour traquer des criminels.
Mais, regrette un ancien commandant de la Grande muette, «ce droit de poursuite n’a jamais été exécuté par l’Armée sénégalaise pour des raisons politiques. Souhaitons que tel ne sera pas le cas cette fois-ci avec le carnage (qui a coûté la vie à) ces treize pauvres villageois.»
Ces informations relatées par le quotidien Le Témoin témoignent du désir des militaires de faire punir les auteurs de cet acte survenu le samedi 6 janvier dernier, qui avait suscité l’émoi de tous les Sénégalais.
A en croire le journal, il ne devrait pas y avoir d’objections chez les Bissau-guinéens d’autant plus qu’un accord avait été signé en 1995 entre les deux pays. Et dans ledit accord, l’autorisation a été donnée au Sénégal de pénétrer jusqu’à 10 Km chez nos voisins, pour traquer des criminels.
Mais, regrette un ancien commandant de la Grande muette, «ce droit de poursuite n’a jamais été exécuté par l’Armée sénégalaise pour des raisons politiques. Souhaitons que tel ne sera pas le cas cette fois-ci avec le carnage (qui a coûté la vie à) ces treize pauvres villageois.»