Dans un communiqué conjoint, la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH), Amnesty International, la Rencontre Africaine des Droits de l’Homme (RADDHO), Article 19 et la SIDH dénoncent de « la façon la plus ferme » l’arrêté du gouverneur de la région de Dakar, interdisant toutes manifestions publiques du 10 novembre au 5 décembre.
En effet, avec le sommet de la Francophonie qui doit se tenir les 29 et 30 Novembre à Dakar, l’autorité administrative a jugé nécessaire de prohiber toutes rencontres à caractère publique.
Ainsi, les organisations de défense des droits de l’homme emboitent le pas au Parti Démocratique Sénégalais (PDS) désireux de manifester le 29 Novembre et appellent les autorités publiques au respect des libertés individuelles des citoyens.
Ils rappellent par ailleurs dans le communiqué que « ce principe sacro-saint en démocratie et au cœur de l’état de droit a été rappelé par la Cour Suprême dans un arrêt du 13 octobre 2011 dans le contexte du FESMAN ».
Pour Alioune Tine et ses collègues, le sommet de la Francophonie ne saurait être un prétexte pour justifier une telle décision.
En effet, avec le sommet de la Francophonie qui doit se tenir les 29 et 30 Novembre à Dakar, l’autorité administrative a jugé nécessaire de prohiber toutes rencontres à caractère publique.
Ainsi, les organisations de défense des droits de l’homme emboitent le pas au Parti Démocratique Sénégalais (PDS) désireux de manifester le 29 Novembre et appellent les autorités publiques au respect des libertés individuelles des citoyens.
Ils rappellent par ailleurs dans le communiqué que « ce principe sacro-saint en démocratie et au cœur de l’état de droit a été rappelé par la Cour Suprême dans un arrêt du 13 octobre 2011 dans le contexte du FESMAN ».
Pour Alioune Tine et ses collègues, le sommet de la Francophonie ne saurait être un prétexte pour justifier une telle décision.