«En dehors de ceux qui veulent se créer des difficultés, il n’y a pas de dysfonctionnement dans la gestion des pensions de retraite», a déclaré Assane Sakho, président régional des retraités de Matam lors d’une séance d’explications avec les membres de son association.
Poursuivant, il explique que: «l’Ipres c’est comme une banque, vous n’avez que ce que vous y cotisez ». Et d’ajouter que «quand un retraité n’a cotisé qu’une année, deux ou trois ans au maximum, il ne pourra avoir qu’aux alentours de 15 000 francs Cfa. Avec la mensualisation, si cette somme est partagée en deux, il ne pourra avoir qu’aux alentours de 7 000 FCfa».
D’ailleurs, renseigne-t-il, c’est ce souci qui a motivé le décret du chef de l’Etat qui «prolonge la durée de travail de 10 ans pour ceux qui veulent prétendre à une pension de retraite».
Mohamed Niang, le chef de l’agence régionale de l’Ipres de Matam, s’est félicité du consensus trouvé dans cette région. Car pour lui, «La spécificité de Matam, c’est que le message est passé. On a bien expliqué, sensibilisé et tout le monde a compris».
Poursuivant, il explique que: «l’Ipres c’est comme une banque, vous n’avez que ce que vous y cotisez ». Et d’ajouter que «quand un retraité n’a cotisé qu’une année, deux ou trois ans au maximum, il ne pourra avoir qu’aux alentours de 15 000 francs Cfa. Avec la mensualisation, si cette somme est partagée en deux, il ne pourra avoir qu’aux alentours de 7 000 FCfa».
D’ailleurs, renseigne-t-il, c’est ce souci qui a motivé le décret du chef de l’Etat qui «prolonge la durée de travail de 10 ans pour ceux qui veulent prétendre à une pension de retraite».
Mohamed Niang, le chef de l’agence régionale de l’Ipres de Matam, s’est félicité du consensus trouvé dans cette région. Car pour lui, «La spécificité de Matam, c’est que le message est passé. On a bien expliqué, sensibilisé et tout le monde a compris».