« Selon les statistiques officielles, 71 personnes ont été tuées lors de l'attaque contre la prison d'Evin », a indiqué le porte-parole du pouvoir judiciaire, Asghar Jahangir. Israël a confirmé que ses frappes à Téhéran avaient visé cette prison.
Les frappes israéliennes ont visé les deux entrées de la prison d’Evin provoquant de nombreux dégâts dans cet immense complexe de plusieurs hectares, notamment les bâtiments de l’entrée principale, mais aussi un petit hôpital qui se trouve dans l’enceinte de la prison, rapporte notre correspondant à Téhéran, Siavosh Ghazi.
Les deux français détenus à Evin depuis plus de trois ans seraient en bonne santé, selon le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot qui a eu son homologue iranien il y a quelques jours. Mais pour l’instant, les deux français n’ont pas pu avoir de visite consulaire ni appeler leur famille en France.
Les prisonniers transférés
Après les deux frappes israéliennes, tous les prisonniers de la prison d’Evine ont été transférés vers d’autres prisons. Les hommes vers la grande prison de Téhéran dans le sud de la capitale, et les femmes vers la prison de Garchak, également dans le sud.
Sur les réseaux sociaux, des familles ont publié la photo d’une femme venue rendre visite à son mari, où d’une assistante sociale présente à la prison avec son fils ou encore d’un jeune iranien qui faisait son service militaire à la prison d’Evin qui ont tous été tués.
Parmi les victimes figurent du personnel administratif de la prison, des soldats, des prisonniers, des proches venus leur rendre visite, mais aussi des habitants vivant à proximité de l'établissement, a précisé Asghar Jahangir. Des photos du complexe pénitentiaire diffusées par la justice iranienne montrent des murs éventrés, des plafonds effondrés et des tas de gravats en train d'être déblayés par des pelleteuses. De nombreuses voitures stationnées non loin des deux entrées de la prison ou encore des bâtiments résidentiels à proximité de la prison ont également été fortement endommagés.
Les frappes israéliennes ont visé les deux entrées de la prison d’Evin provoquant de nombreux dégâts dans cet immense complexe de plusieurs hectares, notamment les bâtiments de l’entrée principale, mais aussi un petit hôpital qui se trouve dans l’enceinte de la prison, rapporte notre correspondant à Téhéran, Siavosh Ghazi.
Les deux français détenus à Evin depuis plus de trois ans seraient en bonne santé, selon le ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot qui a eu son homologue iranien il y a quelques jours. Mais pour l’instant, les deux français n’ont pas pu avoir de visite consulaire ni appeler leur famille en France.
Les prisonniers transférés
Après les deux frappes israéliennes, tous les prisonniers de la prison d’Evine ont été transférés vers d’autres prisons. Les hommes vers la grande prison de Téhéran dans le sud de la capitale, et les femmes vers la prison de Garchak, également dans le sud.
Sur les réseaux sociaux, des familles ont publié la photo d’une femme venue rendre visite à son mari, où d’une assistante sociale présente à la prison avec son fils ou encore d’un jeune iranien qui faisait son service militaire à la prison d’Evin qui ont tous été tués.
Parmi les victimes figurent du personnel administratif de la prison, des soldats, des prisonniers, des proches venus leur rendre visite, mais aussi des habitants vivant à proximité de l'établissement, a précisé Asghar Jahangir. Des photos du complexe pénitentiaire diffusées par la justice iranienne montrent des murs éventrés, des plafonds effondrés et des tas de gravats en train d'être déblayés par des pelleteuses. De nombreuses voitures stationnées non loin des deux entrées de la prison ou encore des bâtiments résidentiels à proximité de la prison ont également été fortement endommagés.