« Ça suffit avec la guerre ! » Dans tout le pays, les manifestants réclament la fin des hostilités pour permettre le retour des otages. Pour Einav Zangauker dont le fils Matan est détenu à Gaza depuis le 7 octobre 2023, c'est la dernière chance de le revoir en vie.
« C'est Netanyahu qui refuse de terminer la guerre »
« Il y a un accord sur la table. Et celui qui le saborde, c'est Netanyahu qui refuse de terminer la guerre. Netanyahu ! Ça suffit avec la politique ! Comme tu l’as fait avec le conflit en Iran, décide maintenant d’arrêter la guerre à Gaza », lance-t-elle.
Chantal, elle, espère que le président américain va mettre la pression sur le premier ministre israélien pour permettre un accord. « Cela pourrait être notre seul espoir aujourd'hui parce que franchement, on est en train de s'enliser et l'on n'est pas capable d'arriver à un accord ni d'un côté ni de l'autre. Ça fait plus d'un an et demi, 631 jours... Ça peut durer », s'inquiète-t-elle.
« Je suis très pessimiste »
Ancien maire adjoint de Jérusalem, Pepe Alalu n’a lui aucune confiance en Benyamin Netanyahu. « Je suis très pessimiste. Je ne vois pas qu’on sorte de Gaza tant que le procès de Bibi se poursuit. Je ne vois pas d’alternative. Ça va être difficile de sortir de cette situation ».
Pour les otages, chaque minute à Gaza est une éternité, affirme Liri Elbag qui elle-même a été libérée lors d’un échange en janvier dernier.
« C'est Netanyahu qui refuse de terminer la guerre »
« Il y a un accord sur la table. Et celui qui le saborde, c'est Netanyahu qui refuse de terminer la guerre. Netanyahu ! Ça suffit avec la politique ! Comme tu l’as fait avec le conflit en Iran, décide maintenant d’arrêter la guerre à Gaza », lance-t-elle.
Chantal, elle, espère que le président américain va mettre la pression sur le premier ministre israélien pour permettre un accord. « Cela pourrait être notre seul espoir aujourd'hui parce que franchement, on est en train de s'enliser et l'on n'est pas capable d'arriver à un accord ni d'un côté ni de l'autre. Ça fait plus d'un an et demi, 631 jours... Ça peut durer », s'inquiète-t-elle.
« Je suis très pessimiste »
Ancien maire adjoint de Jérusalem, Pepe Alalu n’a lui aucune confiance en Benyamin Netanyahu. « Je suis très pessimiste. Je ne vois pas qu’on sorte de Gaza tant que le procès de Bibi se poursuit. Je ne vois pas d’alternative. Ça va être difficile de sortir de cette situation ».
Pour les otages, chaque minute à Gaza est une éternité, affirme Liri Elbag qui elle-même a été libérée lors d’un échange en janvier dernier.