Le président du Conseil italien, Silvio Berlusconi passe à l’offensive. On l’embête sur sa vie privée ou sur sa politique ? Et bien, il contre-attaque, en essayant de réduire au silence, ou la presse trop indiscrète à son avis, ou les commissaires européens qui ont l’outrecuidance de l’interroger sur sa politique d’immigration. Même l’Eglise fronce les sourcils.
Source : http://www.rfi.fr/actufr/articles/117/article_8429...
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