Jean-Paul Dias ne partage pas les arguments du gouvernement sur la décision du Sénégal de reprendre les fréquences sur Paris cédées temporairement à Corsair. Il suggère à Corsair qui devrait quitter dès que Air Sénégal se lancerait, de « rester à Dakar ».
« L’argument de situation brandi par les autorités sénégalaise pour écarter Corsair dès que Air Sénégal s’y lancerait, s’apparente plutôt à un prétexte qui ne résiste pas à l’analyste » martèle le leader du Bloc centriste Gaîndé.
Il a donné l’exemple de la Côte d’Ivoire, de l’Ile Maurice et de Madagascar, dont les compagnies nationales sont beaucoup plus en avance que Air Sénégal et qui pourtant continuent de cohabiter avec Corsair sur la ligne vers Paris.
Dès lors, il suggère à la compagnie qui exploite jusque-là les fréquences du Sénégal de faire la résistance. « A notre avis, Corsair ne doit pas quitter Dakar et ne pas baisser les bras sauf maintien de l’ostracisme », dit-il.
« L’argument de situation brandi par les autorités sénégalaise pour écarter Corsair dès que Air Sénégal s’y lancerait, s’apparente plutôt à un prétexte qui ne résiste pas à l’analyste » martèle le leader du Bloc centriste Gaîndé.
Il a donné l’exemple de la Côte d’Ivoire, de l’Ile Maurice et de Madagascar, dont les compagnies nationales sont beaucoup plus en avance que Air Sénégal et qui pourtant continuent de cohabiter avec Corsair sur la ligne vers Paris.
Dès lors, il suggère à la compagnie qui exploite jusque-là les fréquences du Sénégal de faire la résistance. « A notre avis, Corsair ne doit pas quitter Dakar et ne pas baisser les bras sauf maintien de l’ostracisme », dit-il.