« Le projet de la CNRI a des décisions inacceptables car, irréalistes ». C’est la position de Jean Paul Dias qui défend que les conclusions conduisent un « total dépouillement de l’exécutif soumis au judiciaire, une volonté de tout faire régenter via la Constitution, un rejet de la candidature à la présidentielle d’un citoyen dont un parent vient de quitter la tête de l’Etat et une déclaration de la patrimoine étendu à tous les secteurs publics sauf l’armée et une partie du judiciaire ».
A cela s’ajoutent « l’incompatibilité de la fonction des ministres ou des députés avec celle du président d’une collectivité locale, le plafonnement de l’âge des candidatures de la présidence à 70 ans au lieu de 75 ou 77 ans, la suprématie du judiciaire sur l’exécutif et le législatif ». En vérité, selon le chef de fil du Bloc Centriste Gaïndé (BCG) « la CNRI est, en grande partie, une émanation des soit disant Assises nationales. Aussi, a-t-elle fait un cinéma pour finir par servir en réchauffé, les conclusions de ces fameuses Assises nationales ». En concluant son propos, l'allié du président d’avertir: « si cela doit continuer ainsi, les unes et les autres le regretterons quand les moins expérimentés seront à la barre ».
A cela s’ajoutent « l’incompatibilité de la fonction des ministres ou des députés avec celle du président d’une collectivité locale, le plafonnement de l’âge des candidatures de la présidence à 70 ans au lieu de 75 ou 77 ans, la suprématie du judiciaire sur l’exécutif et le législatif ». En vérité, selon le chef de fil du Bloc Centriste Gaïndé (BCG) « la CNRI est, en grande partie, une émanation des soit disant Assises nationales. Aussi, a-t-elle fait un cinéma pour finir par servir en réchauffé, les conclusions de ces fameuses Assises nationales ». En concluant son propos, l'allié du président d’avertir: « si cela doit continuer ainsi, les unes et les autres le regretterons quand les moins expérimentés seront à la barre ».