Dix-sept jours après la fin des Jeux olympiques, place aux para-sports : les Jeux paralympiques débutent ce 28 août 2024 à Paris avec la cérémonie d'ouverture très attendue ce mercredi soir, place de la Concorde. Les épreuves, elles, démarreront réellement le lendemain et se tiendront jusqu'au 8 septembre.
4.400 athlètes sont là, 23 sports représentés. Des Jeux de Paris 2024 durant lesquels les pays africains vont essayer de tirer leur épingle du jeu, même si la représentation du continent en nombre d'athlètes reste assez faible.
On retrouve donc les pays du Maghreb, qui ont pris l'habitude de bien figurer au tableau de médailles. La Tunisie, par exemple, avec comme figure de proue, Raoua Tlili, spécialiste des lancers de poids et de disques. Depuis 2008 et les Jeux de Pékin, elle a décroché 8 médailles, dont 6 en or. L'Algérie, de son côté, ce sont 12 médailles dont 4 en or à Tokyo, il y a 3 ans, elle arrive aussi en France avec beaucoup d'ambition. L'Égypte, également, est toujours là dans les épreuves de force athlétique.
D'autres pays du continent, comme le Nigeria et l'Afrique du Sud, ont développé depuis des décennies une culture paralympique, avec des moyens, des infrastructures mises en place pour briller au plus haut-niveau, et donc des médailles à l'arrivée.
Mais, derrière ces quelques locomotives, il y a un gouffre énorme : plus de la moitié des délégations africaines ne seront représentées à ces Jeux que par un ou deux athlètes.
Sur l’ensemble du continent, 31 pays n’ont jamais décroché de médailles aux Jeux paralympiques, avec une forte proportion d’État d’Afrique de l’Ouest et centrale toujours en quête d’un premier podium. Dans ces conditions, les délégations du continent feront-elles mieux que le total de Tokyo : 66 médailles dont 21 en or ?
4.400 athlètes sont là, 23 sports représentés. Des Jeux de Paris 2024 durant lesquels les pays africains vont essayer de tirer leur épingle du jeu, même si la représentation du continent en nombre d'athlètes reste assez faible.
On retrouve donc les pays du Maghreb, qui ont pris l'habitude de bien figurer au tableau de médailles. La Tunisie, par exemple, avec comme figure de proue, Raoua Tlili, spécialiste des lancers de poids et de disques. Depuis 2008 et les Jeux de Pékin, elle a décroché 8 médailles, dont 6 en or. L'Algérie, de son côté, ce sont 12 médailles dont 4 en or à Tokyo, il y a 3 ans, elle arrive aussi en France avec beaucoup d'ambition. L'Égypte, également, est toujours là dans les épreuves de force athlétique.
D'autres pays du continent, comme le Nigeria et l'Afrique du Sud, ont développé depuis des décennies une culture paralympique, avec des moyens, des infrastructures mises en place pour briller au plus haut-niveau, et donc des médailles à l'arrivée.
Mais, derrière ces quelques locomotives, il y a un gouffre énorme : plus de la moitié des délégations africaines ne seront représentées à ces Jeux que par un ou deux athlètes.
Sur l’ensemble du continent, 31 pays n’ont jamais décroché de médailles aux Jeux paralympiques, avec une forte proportion d’État d’Afrique de l’Ouest et centrale toujours en quête d’un premier podium. Dans ces conditions, les délégations du continent feront-elles mieux que le total de Tokyo : 66 médailles dont 21 en or ?