Chelsea se dirige vers son premier choc de la saison en Premier League. Les Blues se déplacent en effet, cet après-midi, sur la pelouse de Manchester City. Une confrontation qui ne fait qu’accentuer la pression sur José Mourinho : le manager portugais n’a en effet pas le droit à l’erreur, après un premier nul décevant face à Swansea (2-2) et la polémique Eva Carneiro, qui l’ont placé sous le feu des critiques.
Mais en habile communiquant qu’il est, le Special One est parvenu à déplacer le débat. Et ce, avec une pique bien sentie envoyée à son pire ennemi, Arsène Wenger. Ainsi, à la question de savoir s’il était étonné de la permanence de Manuel Pellegrini sur le banc des Citizens après une saison décevante vierge de titre, Mourinho a, sans le citer directement, tapé sur le technicien français.
« Pourquoi serais-je étonné ? Beaucoup d’autres clubs déçoivent depuis 15 ans et le manager reste toujours le même », a-t-il déclaré, propos relayés par The Telegraph. Une sortie dans la même veine qu’une précédente où il qualifiait Wenger de « spécialiste de l’échec », qui fait déjà couler beaucoup d’encre. En attendant la réponse de l’entraîneur d’Arsenal, Mourinho fait oublier tout le reste...
Mais en habile communiquant qu’il est, le Special One est parvenu à déplacer le débat. Et ce, avec une pique bien sentie envoyée à son pire ennemi, Arsène Wenger. Ainsi, à la question de savoir s’il était étonné de la permanence de Manuel Pellegrini sur le banc des Citizens après une saison décevante vierge de titre, Mourinho a, sans le citer directement, tapé sur le technicien français.
« Pourquoi serais-je étonné ? Beaucoup d’autres clubs déçoivent depuis 15 ans et le manager reste toujours le même », a-t-il déclaré, propos relayés par The Telegraph. Une sortie dans la même veine qu’une précédente où il qualifiait Wenger de « spécialiste de l’échec », qui fait déjà couler beaucoup d’encre. En attendant la réponse de l’entraîneur d’Arsenal, Mourinho fait oublier tout le reste...