Tout est parti de l’avis donné par cette instance onusienne qui a estimé que la détention de Karim Wade est arbitraire et contraire aux articles 9 et 10 de la Déclaration universelle des droits de l’homme (Dudh), ainsi qu’aux articles 9 et 14 du Pacte international relatifs aux droits civils et politiques. Et depuis les conseils de l’Etat du Sénégal sont montés au créneau pour taxer les membres du groupe de travail de « mécaniciens" et de "corrompus ». Et, pour ne pas perdre la face au niveau international, les conseils du gouvernement ont décidé de mener la bataille auprès du groupe de travail et faire valoir la position du Sénégal.
Saisi en premier par les avocats de Karim Wade le groupe s’est prononcé le 7 mai dernier pour demander la libération du fils d’Abdoulaye Wade et avait demandé au Sénégal de «prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale ». Et, réagissant hier sur la Rfm, l’un des conseils du Sénégal en l’occurrence Me Yérim Thiam a soutenu que « le Sénégal n’est pas un Etat voyou » autrement dit c’est « un Etat qui respecte les lois internationales les plus essentielles et les droits les plus élémentaires de l’être humain » a-t-il déclaré.
Saisi en premier par les avocats de Karim Wade le groupe s’est prononcé le 7 mai dernier pour demander la libération du fils d’Abdoulaye Wade et avait demandé au Sénégal de «prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale ». Et, réagissant hier sur la Rfm, l’un des conseils du Sénégal en l’occurrence Me Yérim Thiam a soutenu que « le Sénégal n’est pas un Etat voyou » autrement dit c’est « un Etat qui respecte les lois internationales les plus essentielles et les droits les plus élémentaires de l’être humain » a-t-il déclaré.