Cette annonce est le fruit d'un compromis avec Kinshasa qui a refusé une mission indépendante.
"Un Sénégalais, un Canadien et une Mauritanienne devront déterminer les faits et les circonstances sur les allégations de violations des droits de l'Homme et du droit humanitaire international dans la région du Kasaï", selon un communiqué du Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme.