L’angoisse grandit à Kébémer. Depuis plus d’un mois, cinq jeunes ressortissants du quartier Médina sont portés disparus au Ghana, où ils auraient été enlevés alors qu’ils tentaient de poursuivre leur migration vers le Canada. Les faits remonteraient au 20 novembre dernier, selon des informations recueillies par plusieurs médias auprès de leurs proches.
D’après les familles, les jeunes auraient été interceptés par des individus présentés comme des ravisseurs ghanéens, qui leur auraient confisqué téléphones portables et pièces d’identité, coupant ainsi tout contact direct avec leurs proches au Sénégal. Depuis lors, les informations parviennent de manière fragmentaire, accentuant l’inquiétude des familles.
Sous la menace, une rançon de deux millions cinq cent mille (2 500 000) francs CFA aurait déjà été versée aux ravisseurs. Malgré ce paiement, aucune preuve tangible de leur libération ni de leur état de santé n’a été fournie, plongeant les familles dans une attente insoutenable.
Face à cette situation, les parents lancent un appel pressant aux autorités sénégalaises, en particulier au ministère des Affaires étrangères, afin qu’une intervention diplomatique soit engagée pour localiser les jeunes, assurer leur protection et faciliter leur retour sain et sauf au Sénégal.
D’après les familles, les jeunes auraient été interceptés par des individus présentés comme des ravisseurs ghanéens, qui leur auraient confisqué téléphones portables et pièces d’identité, coupant ainsi tout contact direct avec leurs proches au Sénégal. Depuis lors, les informations parviennent de manière fragmentaire, accentuant l’inquiétude des familles.
Sous la menace, une rançon de deux millions cinq cent mille (2 500 000) francs CFA aurait déjà été versée aux ravisseurs. Malgré ce paiement, aucune preuve tangible de leur libération ni de leur état de santé n’a été fournie, plongeant les familles dans une attente insoutenable.
Face à cette situation, les parents lancent un appel pressant aux autorités sénégalaises, en particulier au ministère des Affaires étrangères, afin qu’une intervention diplomatique soit engagée pour localiser les jeunes, assurer leur protection et faciliter leur retour sain et sauf au Sénégal.