L'Antenne régionale de la Division nationale de lutte contre le trafic de migrants (DNLT) a démantelé un réseau transnational de prostitution forcée à Kedougou (Sud-ouest). Une ressortissante étrangère a été arrêtée et placée sous mandat de dépôt le 18 décembre 2025.
C'est une information « opérationnelle » reçue le 16 décembre qui a permis aux forces de police de localiser trois jeunes filles nigérianes séquestrées dans le village de Mouran. Les victimes ont été recrutées au Nigeria par la mère de la suspecte avec une promesse d’emploi dans la restauration.
Le réseau fonctionnait selon une mécanique bien huilée. Selon la direction de la police sur sa page Facebook, chaque jeune fille avait une dette de convoyage de 1 500 000 FCFA, à rembourser à la mise en cause. À leur arrivée, elles étaient soumises à des rituels mystiques et à un contrôle psychologique. La mise en cause envoyait les bénéfices, plus de 700 000 FCFA identifiés, vers le Nigeria par chèques au porteur.
L'enquête a révélé que le réseau s’implantait dans trois pays dont le Nigeria, le Mali et le Sénégal. Les trois victimes ont été prises en charge par les services compétents pour leur protection et une éventuelle réinsertion sociale. L’enquête se poursuit pour identifier les complices basées à l'étranger.
C'est une information « opérationnelle » reçue le 16 décembre qui a permis aux forces de police de localiser trois jeunes filles nigérianes séquestrées dans le village de Mouran. Les victimes ont été recrutées au Nigeria par la mère de la suspecte avec une promesse d’emploi dans la restauration.
Le réseau fonctionnait selon une mécanique bien huilée. Selon la direction de la police sur sa page Facebook, chaque jeune fille avait une dette de convoyage de 1 500 000 FCFA, à rembourser à la mise en cause. À leur arrivée, elles étaient soumises à des rituels mystiques et à un contrôle psychologique. La mise en cause envoyait les bénéfices, plus de 700 000 FCFA identifiés, vers le Nigeria par chèques au porteur.
L'enquête a révélé que le réseau s’implantait dans trois pays dont le Nigeria, le Mali et le Sénégal. Les trois victimes ont été prises en charge par les services compétents pour leur protection et une éventuelle réinsertion sociale. L’enquête se poursuit pour identifier les complices basées à l'étranger.