Le curé de la paroisse Saint-Joseph de Kédougou, l’abbé Jean Harouna Amani, a invité, jeudi, à l’occasion de la célébration de la solennité de Noël, les chrétiens à prier pour tous les enfants qui ne peuvent pas célébrer cette fête en raison de la guerre, de la famine et d’autres difficultés, rapporte l’APS.
« Nous sommes appelés à prier pour tous ces enfants qui ne peuvent pas fêter Noël aujourd’hui à cause de la guerre, de la famine et de toutes les souffrances qu’ils endurent au quotidien », a-t-il déclaré dans son homélie.
Selon l’APS, l’abbé Amani a également exhorté les fidèles à avoir une pensée pour les chrétiens qui, dans certaines régions du monde, ne peuvent pas se rassembler librement dans une église pour prier et communier.
« Nous devons penser à ces chrétiens qui ne peuvent pas se retrouver dans une église pour prier ensemble et célébrer Noël, ainsi qu’aux familles démunies », a-t-il souligné.
Il a enfin invité les fidèles à être des vecteurs de joie et de paix autour d’eux, en insistant sur la nécessité de renforcer la cohésion sociale malgré les différences. « La diversité ne doit pas être un frein, mais plutôt un levier pour la construction et l’édification de la paix », a-t-il conclu.
« Nous sommes appelés à prier pour tous ces enfants qui ne peuvent pas fêter Noël aujourd’hui à cause de la guerre, de la famine et de toutes les souffrances qu’ils endurent au quotidien », a-t-il déclaré dans son homélie.
Selon l’APS, l’abbé Amani a également exhorté les fidèles à avoir une pensée pour les chrétiens qui, dans certaines régions du monde, ne peuvent pas se rassembler librement dans une église pour prier et communier.
« Nous devons penser à ces chrétiens qui ne peuvent pas se retrouver dans une église pour prier ensemble et célébrer Noël, ainsi qu’aux familles démunies », a-t-il souligné.
Il a enfin invité les fidèles à être des vecteurs de joie et de paix autour d’eux, en insistant sur la nécessité de renforcer la cohésion sociale malgré les différences. « La diversité ne doit pas être un frein, mais plutôt un levier pour la construction et l’édification de la paix », a-t-il conclu.