L’Etat doit toujours préféré le dialogue à la violence. C’est la position du président du Conseil départemental de Diourbel, Khadim Guèye qui se prononçait sur la mort tragique de l’étudiant Mouhamed Fallou Sène.
«Il faut que l’Etat change de stratégie en ce qui concerne la gestion de la sécurité dans ce pays. Ce que nous remarquons depuis 3, 4 ans, c’est qu’à chaque fois que les gens veulent s’exprimer, ou défendre leurs droits, la réaction de l’Etat est dure, d’abord violente aussi bien sur le plan verbal que sur le plan action», dit-il.
Selon lui, «Avant de chercher des solutions l’Etat a tendance à d’abord frapper et voir les solutions après, alors qu’il faut chercher d’abord à dialoguer. L’Etat a une très grande part de responsabilité dans cette affaire et il doit le reconnaitre», conclut-il.
«Il faut que l’Etat change de stratégie en ce qui concerne la gestion de la sécurité dans ce pays. Ce que nous remarquons depuis 3, 4 ans, c’est qu’à chaque fois que les gens veulent s’exprimer, ou défendre leurs droits, la réaction de l’Etat est dure, d’abord violente aussi bien sur le plan verbal que sur le plan action», dit-il.
Selon lui, «Avant de chercher des solutions l’Etat a tendance à d’abord frapper et voir les solutions après, alors qu’il faut chercher d’abord à dialoguer. L’Etat a une très grande part de responsabilité dans cette affaire et il doit le reconnaitre», conclut-il.