La confrontation entre Khalifa Sall et Diène Farba Sarr découle de l’Acte III de la Décentralisation et da sa mise en œuvre précipitée. C’est l’avis de Me Ndiaga Sy, un des cadres du GP : «L’Acte III a permis de tailler des compétences au ministre du Cadre de vie qui est venu empiéter sur celles déjà dévolue aux maires. On n’a pas pu voir venir toutes les mutations qu’allait engendrer cette réforme. Nous avons affaire à des pouvoirs concurrents ». Ce qui,
selon lui, «pose un certain nombre de problèmes dans le domaine des compétences du pouvoir central».
Poursuivant son diagnostic de cette réforme, M. Sy soutient qu’ «il faut se concerter et clarifier les domaines de compétences de chacun. Car, l’Acte III n’a pas connu de vraies concertations. Il faut échanger et apporter des correctifs à cette réforme de gouvernance»
Se prononçant sur les rencontres entre le président de son parti et ses homologues de l’opposition, l’avocat déclare que : «le fait que Malick Gackou soit l’objet de tant de sollicitudes de la part de Me Wade et de certains leaders de l’opposition témoigne de la vigueur de notre jeune formation. Cette alliance, si elle devait se réaliser, sera bénéfique à l’avenir pour le Grand parti».
selon lui, «pose un certain nombre de problèmes dans le domaine des compétences du pouvoir central».
Poursuivant son diagnostic de cette réforme, M. Sy soutient qu’ «il faut se concerter et clarifier les domaines de compétences de chacun. Car, l’Acte III n’a pas connu de vraies concertations. Il faut échanger et apporter des correctifs à cette réforme de gouvernance»
Se prononçant sur les rencontres entre le président de son parti et ses homologues de l’opposition, l’avocat déclare que : «le fait que Malick Gackou soit l’objet de tant de sollicitudes de la part de Me Wade et de certains leaders de l’opposition témoigne de la vigueur de notre jeune formation. Cette alliance, si elle devait se réaliser, sera bénéfique à l’avenir pour le Grand parti».